Pratique en Officine1
1. Dans le domaine de l'officine, les bonnes pratiques officinales :
Correspondent au processus permettant d'assurer la qualité du différent service de l'officin
Est une branche de l’ANSM
N’est pas un processus évident pour des raisons de santé publique
Restaurer la confiance des malades envers les médecins
2. Les bonnes pratiques officinales requièrent que :
Chaque prestation du service d'une officine soit pertinente et clairement défini
L'activité pharmaceutique ne soit pas centrée sur la dispensation des médicaments
Le pharmacien encourage une prescription irrationnelle du médicament
La dispensation des médicaments dérivés du sang est réalisée avec les conseils
3. L'activité de l'officine est polyvalente. Ses principales activités sont :
La dispensation des médicaments dérivés du sang
La fabrication de préparations magistrales et officinales
La surveillance des effets nocifs du médicament (pharmacovigilance)
La prescription des médicaments
4. Le Dossier pharmaceutique :
Permet de sécuriser la dispensation du médicament
Est constitué, sur papier ou ordinateur, des ordonnances délivrées dans une pharmacie
Conserve les informations sur les médicaments dérivés du sang durant 40 ans
Permet de savoir où le malade est allé acheter ses médicaments
5. Les médicaments «OTC» :
Sont en vente libre un peu partout
σ� Délivre le pharmacien de sa responsabilité sur ces médicaments
Ont des propriétés spécifiques mais une AMM habituelle
Peuvent être vendus en gros
6. L’ordonnance de l’officine :
Tous les registres ne sont pas obligatoires
Le registre des stupéfiants peut être informatisé
Le registre des préparations indique le prescripteur de l'ordonnance
Doit aussi contenir les recettes des remèdes secrets
7. Le bon usage du médicament :
Concerne les règles encadrant l'auto-médication
Oblige souvent les médecins à prescrire des comprimés aux enfants
Passe par l'éducation thérapeutique
N'est appliqué qu'aux antibiotiques, qui ne sont pas automatiques
8. Parmi les quatre propositions au-dessous, une étape essentielle que l’on doit être observée au cours de la dispensation sous ordonnance est :
Vérifier l’authenticité de l’ordonnance et la régularité technique
Expliquer les patients sur la bonne pratique en officine
Archiver la version originale de l’ordonnance
Montrer les patients la bonne pratique de préparation officinale
9. L’obligation des pharmaciens d’officine est de :
Rapporter les observations des effets indésirables
Donner les ordres aux patients
Contacter les médecins pour avoir les profiles du patient
Dispenser les médicaments dérivés du sang
10. La dispensation du médicament sous ordonnance passe par :
Deux étapes
Trois étapes
Quatre étapes
Cinq étapes
11. Le tronc de l’ordonnance comprend les éléments concernant le traitement thérapeutique :
La signature du médecin et le nom de l’établissement
Le nom, dosage et la forme pharmaceutique du médicament
Le nom et les profiles du patient
L’indication
12. L'accueil du patient au niveau de l'officine pour le patient vient pour un renouvellement, les pharmaciens doivent :
Evaluer l’état de santé du patient et sa tolérance du traitement en cours
Identifier la personne
Rechercher si le malade prend d’autres traitements
Regarder si l’ordonnance est bien prescrite par le médecin
13. La lecture de l'ordonnance et la vérification de sa conformité par le pharmacien repose sur :
L’authenticité et régularité technique et l’habilitation du rédacteur de l’ordonnance
L’identification du patient
La détermination de la posologie du médicament
σ� La validation technique du médicament
14. La tête de l’ordonnance comprend :
En haut et à droite, des éléments d’identification du prescripteur
En haut et à gauche, la date et le numéro d’émission de l’ordonnance
Au milieu, des éléments d’identification du patient
En haut et à droite, des éléments d’identification du médicament
15. En officine, l’analyse des risques pour les nouveaux patients :
Vérifier si l’absent de contre-indication physiopathologie
Identifier s’il y a une modification de l’ordonnance par rapport à la précédente
Vérifier si le patient est bien toléré avec le traitement
Dispenser les médicaments
16. L'acte pharmaceutique officinal présente deux aspects :
L'acte de préparation et l'acte de dispensation
L’acte de préparation et la gestion pharmaceutique
L’acte de dispensation et les conseils de santé
La formation continue et l’information sur les médicaments et les produits de santé
17. La préparation magistrale :
Est destinée pour plusieurs individus
Est destinée pour un individu particulier
N’existe qu’en officine
N’existe qu’à l’hôpital
18. Le produit officinal divisé (POD) :
Est préparé à l'avance par un établissement pharmaceutique et divisé soit par lui soit par la pharmacie d'officine
Est destinée pour un individu particulier
N’existe qu’à l’hôpital
Est appelé aussi la préparation individuelle
19. Dossier de lot est :
Ensemble des données relatives au lot préparé
Un dossier d’une préparation réalisée au cours d’un cycle donné
Est toute la série d’opérations de préparation et de conditionnement
Un dossier de la mise en forme pharmaceutique
20. Les documents de la préparation ont pour objet :
De préciser les procédures générales
De donner les informations sur le numéro du lot
De montrer les éléments nécessaires pour le contrôle de qualité
De moderniser le travail
21. Dans la gestion des stocks, le pharmacien et son équipe doivent être en mesure de:
I. Estimer les besoins et déclencher la commande.
II. Préparer le bon de commande.
III. Transmettre la commande.
IV. Réceptionner la livraison.
I. Estimer les besoins et déclencher la commande.
II. Préparer le bon de commande.
III. Transmettre la commande.
IV. Réceptionner la livraison.
La réponse I
La réponse I, II et III
La réponse II, III et IV
La réponse I, II, III et IV
22. La spécialité pharmaceutique est :
Le médicament fabriqué extemporairement par les pharmaciens
Préparé en milieu hospitalier
Préparé en officine
Fabriqué par un laboratoire pharmaceutique
23. Le dossier de demande AMM comportent les parties :
I. La partie analytique
II. La partie pharmacologique et toxicologique
III. La partie thérapeutique
IV. La partie clinique
I. La partie analytique
II. La partie pharmacologique et toxicologique
III. La partie thérapeutique
IV. La partie clinique
La réponse I
La réponse II
La réponse I, II et III
La réponse I, II et IV
24. Les médicaments appelés « grand public » sont :
Des médicaments d’autorisation temporaire d’utilisation (ATU)
Des médicaments d’automédication
Des médicaments à prescription réservée à certains spécialistes
Des médicaments à prescription initiale hospitalière
25. Les médicaments à prescription restreinte sont :
Des médicaments réservés à l’usage hospitalier
Des médicaments ne disponible qu’à l’hôpital
Des médicaments ne disponible qu’à l’officine
Des médicaments réservés au grand public
26. L’autorisation temporaire d’utilisation (ATU) de cohorte :
Accordé à un laboratoire pharmaceutique qui en fait la demande pour un médicament destiné à plusieurs malades
Accordé à un médecin traitant qui en fait la demande par l’intermédiaire du pharmacien hospitalier pour répondre à un besoin thérapeutique particulier d’un malade nommément désigné
C’est réservé pour les médicaments qui ont déjà obtenu l’autorisation de mise sur le marché
C’est la dernière étape que le laboratoire pharmaceutique fait la demande avant d’obtenir l’AMM
27. L’autorisation temporaire d’utilisation (ATU) de nominative :
Accordé à un laboratoire pharmaceutique qui en fait la demande pour un médicament destiné à plusieurs malades
Accordé à un médecin traitant qui en fait la demande par l’intermédiaire du pharmacien hospitalier pour répondre à un besoin thérapeutique particulier d’un malade nommément désigné
C’est réservé pour les médicaments qui ont déjà obtenu l’autorisation de mise sur le marché
C’est la dernière étape que le laboratoire pharmaceutique fait la demande avant d’obtenir l’AMM
28. Les médicaments dérivés du sang sont :
Les albumines, les immunoglobulines
Les stupéfiants
Les anticancéreux
Les solutés massifs
29. Les médicaments mentionnés « liste I » sont :
Les médicaments toxiques
Les médicaments dangereux
Les stupéfiants
Les psychotropes
30. Les médicaments mentionnés « liste II » sont :
Les médicaments toxiques
Les médicaments dangereux
Les stupéfiants
Les psychotropes
31. Les médicaments mentionnés « dépendant » sont :
Les anticancéreux
Les immunoglobulines
Les solutés massifs
Les psychotropes
32. Les médicaments ont d’origine de :
I. Végétale et animale
II. Microbiologie et minérale
III. Synthétique et biotechnologie
IV. Humaine
I. Végétale et animale
II. Microbiologie et minérale
III. Synthétique et biotechnologie
IV. Humaine
La réponse I
La réponse I et II
La réponse I, II et III
La réponse I, II, III et IV
33. La molécule suivante est issue du règne végétal :
La pénicilline
L’albumine
Le bicarbonate de sodium
L’aspirine
34. La molécule suivante est d’origine de biotechnologie :
La quinine
La pénicilline
Le paclitaxel
Les vinca-alcaloïde
35. Les médicaments d’origine minérale :
La Bicarbonate de sodium
La quinine
La pénicilline
L’interféron
36. Concernant la forme pharmaceutique du médicament, l’avantage de la voie orale :
Plus pratique et économique
Coopération du malade est nécessaire
Action locale
Résorption rapide et complète
37. Cochez la bonne réponse. La voie parentérale :
Voie intradermique
Voie sublinguale
Voie perlinguale
Voie transmuqueuse
38. Cochez la bonne réponse. La voie parentérale :
I. Voie sous-cutané
II. Voie intramusculaire
III. Voie intraveineux
IV. Voie transmuqueuse
I. Voie sous-cutané
II. Voie intramusculaire
III. Voie intraveineux
IV. Voie transmuqueuse
La réponse I et IV
La réponse II et IV
La réponse III et IV
La réponse I, II et III
39. Avantage de la voie intraveineux :
Possibilité d’injecter la suspension
Faisabilité par le malade lui-même
Action locale uniquement
Résorption complète et rapide
40. Avantage de la voie intradermique :
Possibilité d’injecter la suspension
Faisabilité par le malade lui-même
Action locale uniquement
Résorption complète et rapide
41. Avantage de la voie sous cutané :
Facile et économisé
Faisabilité par le malade lui-même
Action locale uniquement
Résorption complète et rapide
42. Avantage de la voie intramusculaire :
Possibilité d’injecter la suspension
Facile et économisé
Action locale uniquement
Résorption complète
43. Inconvénient de la voie sous cutané :
Durée d’action courte
Irritation veineuse possible
Dangereux en cas d’atteinte de nerfs, veines ou artères
Difficulté à répéter les injections à certains endroits
44. En ce qui concerne l’administration d’aérosols par voie respiratoire, pour avoir d’action au niveau de bronches et bronchioles, le diamètre de particule doit être :
> 30 μm
20 – 30 μm
10 – 20 μm
3 – 5 μm
45. Les médicaments comportent :
Le principe actif et l’excipient
Le principe actif et le récipient
Le principe actif, l’excipient et le récipient
Que des principes actifs
46. En officine, il y a plusieurs types de conseil :
I. Conseils au quotidien
II. Conseils en urgence
I. Conseils au quotidien
II. Conseils en urgence
La réponse I
La réponse II
Toutes les réponses sont incorrectes
La réponse I et II
47. Les conseils au quotidien se fait pour
Donner alerte
Dispenser les gestes en respectant les règles hygiènes et sécurités
Automédication
Récupérer les effets nocifs
48. Face à une urgence, il faut :
Comprendre, reconnaitre et réagir
Comprendre et reconnaitre
Reconnaitre et réagir
Comprendre et réagir
49. L’allergie est :
Urgence ressentie
Urgence vraie
Urgence ressentie et d’urgence vraie
N’est pas une urgence
50. L’épistaxis est :
Urgence ressentie
Urgence vraie
Urgence ressentie et d’urgence vraie
N’est pas une urgence
51. L’hémorragie est :
Urgence ressentie
Urgence vraie
Urgence ressentie et d’urgence vraie
N’est pas une urgence
52. L’asphyxie est :
Urgence ressentie
Urgence vraie
Urgence ressentie et d’urgence vraie
N’est pas une urgence
53. Face à une brûlure :
Enlever les corps étrangers
Pansement
Surélever le membre
Arroser-la avec l’eau à 10 0C
54. Face à une épistaxis :
Moucher pour éliminer les caillots non fonctionnels
Préconiser l’immobiliser du membre
Surélever le membre
Arroser-la avec l’eau à 10 0C
55. Face à une intoxication :
Maintenir le malade au chaud
Faire boire du lait au malade
Faire vomir du malade
Faire une compression
56. La fièvre se définie par l’élévation de la température corporelle :
> 37 0C
> 38 0C
> 39 0C
> 40 0C
57. Un patient qui vient à la pharmacie pour la raison d’une fièvre, le pharmacien doit :
Donner les antibiotiques au patient
Donner le paracétamol en associant avec l’aspirine
Appelé le SAMU
Mesurer la température
58. En cas de fièvre, le paracétamol sera donné au patient avec la dose de :
1000 mg trois par jour
500 mg deux fois par jour
500 mg trois fois par jour
1000 mg deux fois par jour
59. En cas de fièvre, le paracétamol sera utilisé et la dose ne doit pas dépasser :
2 g par jour
3 g par jour
4 g par jour
6 g par jour
60. En cas de fièvre, l’aspirine sera donnée au patient avec la dose de :
1000 mg trois par jour
500 mg deux fois par jour
500 mg trois fois par jour
1000 mg deux fois par jour
61. En cas de fièvre, l’aspirine sera utilisée et la dose ne doit pas dépasser :
3 g par jour
4 g par jour
5 g par jour
6 g par jour
62. Le paracétamol est contre-indiqué :
Chez les ulcéreux
La femme enceinte
En cas d’asthme
Insuffisant hépatiqueInsuffisant hépatique
63. En cas de fièvre, quelques urgences doivent être suspectées en cas :
Les fièvres de la femme enceinte et les méningites
Les hypertensions et les chocs septiques
Les hypoglycémies et les méningites
Les paludismes avec l’hypertension
64. Chez l’enfant, la fièvre est:
Une infection des voies respiratoires inférieures
Souvent traité par les antibiotiques
Peut-être le premier signe d’une hyperglycémie
Le traitement par le paracétamol est le premier choix
65. En cas de fièvre chez l’enfant, la posologie du paracétamol :
15 mg / kg / 4 heures
15 mg / kg / 5 heures
10 mg / kg / 4 heures
10 mg / kg / 6 heures
66. En cas de fièvre, il faut envoyer l’enfant aux urgences si :
Rhinopharyngite
Angines
Méningites ou purpura fulminants
Otites
67. En cas de fièvre, avant l’arrivée du médecin, l’enfant doit :
Boire abondamment de l’eau
Prendre des antibiotiques pour soulager
Envoyer l’enfant aux urgences
Laisser l’enfant à tremper dans l’eau
68. L’hyperthermie est définie par la température du corps :
> 38.5 0C
> 39.5 0C
> 40.5 0C
> 41.5 0C
69. Retenez la proposition exacte concernant l’effet de la fièvre :
Augmentation de la vitesse du métabolisme
Douleur musculaire
Céphalée
Asthénie
70. Cochez la proposition exacte concernant le signe de la fièvre :
Soif intense
Mal à la gorge
Palpitation
Bronchite
71. La fièvre de nourrisson qui passe un délai de six mois, certain examen médical est nécessaire comme :
I. Examen des bronches
II. Examen de la gorge et de tympan
III. Examen du revêtement cutané
IV. Recherche à la bandelette d’une infection urinaire
I. Examen des bronches
II. Examen de la gorge et de tympan
III. Examen du revêtement cutané
IV. Recherche à la bandelette d’une infection urinaire
La réponse I
La réponse I et II
La réponse II et III
La réponse I, II, III et IV
72. Cochez la bonne réponse. Certain sujets sont très sensibles à la fièvre :
Le nourrisson
L’enfant
L’adulte
La personne âgée
73. Parmi les sujets suivants, un qui est très sensible avec la crise de convulsion lors que la température du corps est supérieure à 40,5 0C :
Le nourrisson
L’enfant
L’adulte
La personne âgée
74. Concernant la fièvre du nourrisson, en attendant l’arrivée du médecin, conseillez :
De découvrir enfant et de l’envelopper dans une serviette humide trempée dans de l’eau tiède
De le baigner à 37 0C pendant 1 heure
De ne pas découvrir enfant
De ne permettre pas l’enfant boire de l’eau
75. Appeler le SAMU en cas de :
L’enfant a de la fièvre avec la température supérieure de 38 0C
Plusieurs tâches de sang sur la peau (purpura)
L’enfant présente un écoulement nasal
L’enfant ne veut pas manger ou boire
76. Le paracétamol est utilisé en première intention dans le traitement de la fièvre du nourrisson car
Il est facile à trouver en pharmacie
Il est le plus efficace
Il présente plusieurs formes pharmaceutiques qui sont adaptés au nourrisson
Il est moins toxique par rapport aux autres
77. Chez le nourrisson, le paracétamol est utilisé avec la dose maximale journalière :
40 mg / kg / 24 heures
50 mg / kg / 24 heures
60 mg / kg / 24 heures
70 mg / kg / 24 heures
78. Chez l’enfant, l’utilisation du paracétamol avec la dose suprathérapeutique (3 g / 2 heures) peut provoquer :
Insuffisant rénale
Insuffisant hépatique
Hépatotoxicité
Cytolyse hépatique aiguë
79. Chez l’enfant, l’aspirine est utilisée avec la dose maximale journalière :
40 mg / kg / 24 heures
50 mg / kg / 24 heures
60 mg / kg / 24 heures
70 mg / kg / 24 heures
80. Parmi les propositions suivantes, cochez la bonne réponse. La contre-indication de l’aspirine :
La personne âgée
L’enfant plus de 6 ans
Les anémies
Les patients traités par warfarine
81. En cas de douleur, la codéine est utilisée :
6 comprimés par jour
7 comprimés par jour
8 comprimés par jour
9 comprimés par jour
82. Chez l’enfant, la codéine est utilisée avec la dose maximale journalière :
4 mg / kg / 24 heures
5 mg / kg / 24 heures
6 mg / kg / 24 heures
7 mg / kg / 24 heures
83. Chez l’enfant, l’ibuprofène est utilisé avec la dose maximale journalière :
10 mg / kg / 24 heures
20 mg / kg / 24 heures
30 mg / kg / 24 heures
40 mg / kg / 24 heures
84. A un adulte enrhumé, conseillez :
Des lavages des fosses nasales
Prendre la douche avec l’eau tiède
Se reposer
Manger beaucoup
85. En cas de rhume chez l’adulte, peut être un signe de sinusite chronique s’il associe avec :
Encombrement nasale, irritation pharyngite et toux nocturne
Une fièvre à 40 0C
Un coryza intense
Un prurit nasal
86. En cas de rhume chez l’adulte, peut être un signe de sinusite aiguë s’il associe avec :
Une température élevée
Un coryza intense
Un coryza intense
Ecoulement purulent, douleur de la face et sensation de résonance au cours de marche
87. Le rhume des foins :
Eternuement en salve avec prurit nasal
Ecoulement purulent
Douleur de la face
Sensation de résonance au cours de marche
88. Le rhume de l’enfant est caractérisé par :
Une fièvre à 39 0C pendant 2 à 3 jours
Céphalée
Eternuement
Douleur de la face
89. La technique du désencombrement rhinopharyngé de l’enfant :
Allonger l’enfant sur un plan dur et lui tourner la tête sur un côté et laver la narine par une pression sur la pipette
Assoir le patient et comprimer le nez avec son index pendant 10 minutes
Pulvériser l’enfant avec les bêta 2 mimétique vasoconstriction
Moucher énergétiquement pour évacuer les mucus
90. Pour l’enfant qui a mal à la gorge, il faut faire un examen pour rechercher :
Les virus
Les bactéries
Les champignons
Les parasites
91. Pour l’enfant qui a mal à la gorge, le traitement sera fait par l’administration de :
Pénicilline
Cycline
Aminoside
Fluoroquinolone
92. Les bactéries en cause de la mal à la gorge chez l’enfant sont :
Streptocoque bêta hémolytique
Staphylocoque aureus
Haemophilus influenza
Escherichia coli
93. Pour l’adulte qui a mal à la gorge, il faut faire un examen pour rechercher :
Les virus
Les bactéries
Les champignons
Les parasites
94. En cas d’angine chez l’adulte, conseillez :
Pulvérisation avec ammonium quartenaire
Gargarisme avec de l’eau froid
Pulvérisation avec des antalgiques
Gargarisme avec de l’eau tiède
95. En cas de la mal à la gorge chez l’adulte, avant de conseiller un traitement banal, assurez-vous : Que
Que le patient ne présente ni ganglions, ni hémorragie nasale
Que le patient a l’antécédent de néphrite
Que le patient a l’antécédent de lésion des valves cardiaques
Que le patient a l’ecchymose
96. Les sinusites s’observent chez :
L’enfant entre 2 à 6 ans
Chez le nourrisson
Seulement chez la femme enceinte
Chez l’adulte et l’enfant plus de 6 ans
97. La sinusite est très fréquente :
Maxillaire
Frontale
Sphénoïdale
Ethmoïdale
98. La sinusite maxillaire a des signes:
La douleur unilatérale, sous orbitaire et l’écoulement nasal
Sensation résonance au cours de marché et mal à la tête
Mal à la tête et difficile à respirer
Mal aux dents avec mal à la tête
99. En cas une sinusite chez l’adulte, on propose le patient de :
Laver des fosses nasales
Ne pas laver des fosses nasales et il faut aller faire la consultation avec le médecin Inhaler
Inhaler avec les huiles essentielles
Aller voir le médecin en urgence
100. La balsofumine et balsolène est réservés à :
L’adulte
L’enfant entre 6 à 12 ans
L’enfant entre 2 à 6 ans
Au nourrisson
{"name":"Pratique en Officine1", "url":"https://www.supersurvey.com/QPREVIEW","txt":"1. Dans le domaine de l'officine, les bonnes pratiques officinales :, 2. Les bonnes pratiques officinales requièrent que :, 3. L'activité de l'officine est polyvalente. Ses principales activités sont :","img":"https://www.supersurvey.com/3012/images/ogquiz.png"}