Semiology

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Clinical Semiology Mastery Quiz

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288 Questions72 MinutesCreated by AnalyzingHeart479
1. Place du pharmacien dans les pratiques cliniques est:
Soins
Diagnostic
Thérapeutique
Dépistage
2. Définition de la fièvre:
Elévation de température centrale au-dessus des valeurs normales : > 37 degré Celsius
Elévation de température centrale au-dessus des valeurs normales : >37,5 degré Celsius
Elévation de température centrale au-dessus des valeurs normales : >38 degré Celsius
Elévation de température centrale au-dessus des valeurs normales : >38,5 degré Celsius
3. Les signes au-dessous sont des signes généraux excepte un :
Convulsion
Amaigrissement
Asthénie
Fièvre
4. Les signes suivants sont le syndrome méningé excepte un :
Céphalée
Vomissement
Raideur de la nuque
Constipation
5. Selon la roue de l’étiologie, les éléments suivant sont l’étiologie acquis excepte un :
Infection
Trauma
Gènes
Emotion
6. Les éléments suivants sont les causes de la douleur pelvienne aiguë excepte un:
Grossesse extra utérine
Appendicite aiguë
Torsion d’un kyste de l’ovaire
Endométriose
7. Les éléments suivants sont les causes de la douleur pelvienne chronique excepte un:
Grossesse extra utérine
Salpingite chronique
Endométriose
Adénomyose
8. La cause chirurgicale d’emblée de la douleur pelvienne est:
Cancer de l’ovaire
Rupture d’un kyste de l’ovaire
Cancer du col utérin
Cancer de l’endomètre
9. La cause de la dyspareunie est:
Cancer de l’endomètre
Rupture d’un kyste de l’ovaire
Endométriose
Fibrome intracavitaire
10. La ménorragie est:
Saignements de l’utérus sans rapport avec les règles
Règles longues et abondantes
Saignement intermittent de très faible abondance à type de traces
Saignements anormaux pendant ses règles et en dehors des règles
11. La métrorragie est:
Saignements de l’utérus sans rapport avec les règles
Règles longues et abondantes
Saignement intermittent de très faible abondance à type de traces
Saignements anormaux pendant ses règles et en dehors des règles
12. La ménométrorragie est:
Saignements de l’utérus sans rapport avec les règles
Règles longues et abondantes
Saignement intermittent de très faible abondance à type de traces
Saignements anormaux pendant ses règles et en dehors des règles
13. Le signe pathognomonique est:
Signe physique constaté par le médecin lors de l’examen clinique
Signe clinique ou para clinique qui est un signe très spécifique d'une maladie
Signe principal ou majeur qui caractérise un état
Est l’ensemble de symptômes et/ou de signes physiques
14. Le traitement palliatif est:
Soulager des signes fonctionnels
Guérir du patient
Améliorer la qualité de vie
Spécifique de la maladie
15. Les signes généraux sont :
Anorexie, Amaigrissement, Convulsion, Fièvre
Asthénie, Anorexie, Eruption, Symptôme toxémique
Asthénie, Anorexie, Amaigrissement, Adénopathie
Anorexie, Amaigrissement, Asthénie, Fièvre
16. L’asthénie avec l’appétit augmenté peut-être le seul symptôme pour une maladie comme :
Dépression
Diabète sucré
Surmenage
Hypothyroïdie
17. L’asthénie avec l’anorexie peut-être le seul symptôme pour une maladie comme :
Dépression
Diabète sucré
Insuffisance surrénalienne
Hypothyroïdie
18. L’asthénie d’origine central peut-être le seul symptôme pour une maladie comme :
Dépression
Diabète sucré
Insuffisance surrénalienne
Hypothyroïdie
19. L’asthénie d’origine central peut-être le seul symptôme pour une maladie comme :
Beta-bloquants
Hépatite
Insuffisance surrénalienne
Hypothyroïdie
20. Le contexte de l’examen clinique comprend :
Anamnèse, examen physique, examen para clinique
Interrogatoire, examen physique, examen para clinique
Histoire de la maladie, examen physique, examen complémentaire
Antécédents, traitement suivi et mode de vie
21. Le syndrome myasthénique plus fréquent est:
Botulisme
Sd d’Eaton-Lambert
Myasthenia gravis
Venins de serpents et Médicaments
22. L’anticorps trouvé dans test laboratoire de myasthenia gravis est:
Anti-cyclic citrullinated peptide antibody
Anti-acetylcholine receptor antibody
Anti-TPO antibody
Thyrotropin-receptor stimulating antibody
23. Concernant la céphalée, quelle est la proposition fausse :
Céphalée est une douleur locale ressentie a/n de la boîte crânienne ou de la nuque
Scanner cérébral est systématique devant une céphalée d’installation brutale
Céphalée récente et chronique sont toujours des urgences neurologiques
Le diagnostic des céphalées essentielles bénignes reste purement clinique
24. Les causes de la céphalée récente sont :
Algie vasculaire de la face, Méningite, Hématome sous dural
Encéphalopathie hypertensive, AVC, hémorragie méningée
Artérite temporale de Horton, Hémorragie méningée, HTA
Céphalée de tension, Migraine, Céphalée post-traumatique
25. Les causes de la céphalée rapidement progressive sont :
Artérite temporale de Horton, Méningite, Hématome sous dural
Encéphalopathie hypertensive, AVC, hémorragie méningée
Artérite temporale de Horton, Hémorragie méningée, HTA
Céphalée de tension, Migraine, Céphalée post-traumatique
26. Les causes de la céphalée chronique sont :
Artérite temporale de Horton, Méningite, Hématome sous dural
Encéphalopathie hypertensive, AVC, Hémorragie méningée
Artérite temporale de Horton, Hémorragie méningée, HTA
Céphalée de tension, Migraine, Céphalée post-traumatique
27. Les causes des céphalées essentielles bénignes sont :
Artérite temporale de Horton, Méningite, Hématome sous dural
Céphalée de tension, Migraine, Céphalée par la toux
Encéphalopathie hypertensive, AVC, hémorragie méningée
Artérite temporale de Horton, Hémorragie méningée, HTA
28. Les 2 principales causes de l’AVC ischémique sont :
HTA et Cardiopathie ischémique
Hypercholestérolémie et HTA
Hypercholestérolémie et Cardiopathie emboligène
HTA et Infarctus du myocarde
29. La cause plus fréquente de l’AVC hémorragique chez le sujet jeune est :
Hypertension artérielle
Hypercholestérolémie
Cardiopathie emboligène
Rupture d’anévrisme cérébrale
30. Concernant la thrombophlébite cérébrale, la proposition fausse est :
Symptômes neurologiques sont très variés et l’aucune signe n’est spécifique
Signes: simple céphalée à un déficit moteur/sensitif étendu, une crise comitiale
Surviennent volontiers chez la femme âgée avec un terrain d’infarctus du myocarde
Surviennent volontiers chez la femme jeune, tabagique, sous contraception oestro-progestative
31. Les 2 principales causes de l’hémorragie méningée sont :
HTA et Cardiopathie ischémique
Traumatisme crânien et Rupture d’anévrisme
Hypercholestérolémie et Cardiopathie emboligène
HTA et Infarctus du myocarde
32. Les 4 causes fréquentes de l’épilepsie sont :
Infection cérébrale, malformation vasculaire, tumeur cérébrale, traumatisme crânien
Traumatisme crânien, Rupture d’anévrisme, infection cérébrale, HTA
Infection cérébrale, tumeur cérébrale, traumatisme crânien, AVC
HTA, traumatisme crânien, infection cérébrale, tumeur cérébrale
33. Les causes des syndromes épileptiques sont :
Le plus souvent, aucune n’est retrouvée
Malformation vasculaire
Tumeur cérébrale
Infection cérébrale
34. Concernant le traitement de l’épilepsie, la proposition fausse est :
La grande majorité des épilepsies est traitée médicalement 80 % des patients
Antiépileptiques classiques : Phénobarbital, valproate de sodium, benzodiazépines
Antiépileptiques récents : vigabatrin, tiagabine, gabapentine, carbamazépine
Traitement chirurgical: pour une lésion focale responsable de crises épileptiques
35. Le moyen de diagnostic important de l’épilepsie chez l’enfant est :
Echographie fontanelle
Electroencéphalogramme
IRM cérébrale
Scanner cérébrale
36. La définition de l’anémie pour la femme adulte est :
Taux de Hb < 140 g/L
Taux de Hb < 130 g/L
Taux de Hb < 120 g/L
Taux de Hb < 105 g/L
37. La définition de l’anémie pour la femme enceinte à partir du second trimestre de grossesse est :
Taux de Hb < 140 g/L
Taux de Hb < 130 g/L
Taux de Hb < 120 g/L
Taux de Hb < 105 g/L
38. La cause de l’anémie microcytaire est :
Carence martiale ou inflammation
Déficit en vitamine B12
Syndromes myélodysplasiques
Ethylisme
39. La cause de l’anémie macrocytaire est :
Carence martiale
Inflammation
Hémolyse
Ethylisme
40. La cause de l’anémie normocytaire est :
Carence martiale
Déficit en vitamine B12
Hémorragie aiguë
Ethylisme
41. Les signes cliniques de l’anémie sont :
Pâleur et Métrorragie
Pâleur et Symptomatologie fonctionnelle anoxique
Pâleur et Douleur thoracique
Pâleur et Hémoptysie
42. La durée minimale du traitement martial est :
D’un mois
De deux mois
De trois mois
De quatre mois
43. Les conséquences digestives du traitement martial sont :
Céphalée, vertige
Selles noires, nausées
Vomissement, diarrhée
Convulsion, vertige
44. Le critère d'arrêt du traitement martial est :
Normalisation de la ferritine sanguine
Normalisation du fer sérique
Normalisation de l’hémogramme
Normalisation du fer sérique et de l’hémogramme
45. Dans l’hémogramme, la béta-thalassémie peut trouver au cours:
Anémie normocytaire
Anémie microcytaire
Anémie macrocytaire
Anémie hypochrome
46. Le diagnostic de l’aplasie médullaire repose sur:
Biopsie ostéo-médullaire
Hémogramme
Signes cliniques
IRM médullaire
47. La cause plus fréquente de l’aplasie médullaire est:
Cause iatrogène
Cause toxique
Cause virale
Cause idiopathique
48. La pancytopénie est un syndrome complet dans:
Aplasie médullaire
Insuffisance médullaire
Infection virale
Infection bactérienne
49. Le traitement étiologique de l’aplasie médullaire est:
Transfusions et les anti-infectieux
Greffe de la moelle osseuse
Immunosuppresseurs ou androgènes
Antiviraux et antitoxiques
50. Les causes des adénopathies superficielles sont:
Infection et pathologie maligne
Pathologie bénigne et dengue hémorragique
Paludisme et dengue hémorragique
Réaction allergique et grippe simple
51. La cause des adénopathies superficielles d’infection sans point de départ évident est:
Infection dentaire
Panaris
Phlébite
Tuberculose
52. Dans la pathologie maligne, la cause de l’adénopathie sus-claviculaire gauche est :
Cancer ORL
Mélanome
Cancer gastrique
Cancer de la langue
53. Les adénopathies peuvent être dues à une atteinte primitive maligne du tissu lymphoïde sont :
Cancer ORL
Lymphome
Cancer gastrique
Cancer du sein
54. Les adénopathies profondes sont :
Adénopathies axillaires
Adénopathies inguinales
Adénopathies médiastinales
Adénopathies sus-claviculaires
55. Les adénopathies profondes sont :
Adénopathies axillaires
Adénopathies inguinales
Adénopathies sus-claviculaires
Adénopathies intra-abdominales
56. Les causes des adénopathies profondes sont :
Mélanome
Cancer pulmonaire
Cancer de la langue
Cancer ORL
57. La cause plus fréquente des polyadénopathies est :
Origine infectieuse
Post-médicamenteuse
Origine tumorale
Maladie dysimmunitaire
58. L’étiologie plus fréquente des splénomégalies est :
Traumatisme de la rate
Hémolyse chronique
Pathologie infectieuse
Syndrome myéloprolifératif
59. Les causes de purpura sont :
Purpura idiopathique, thrombopathique et vasculaire
Purpura thrombopénique, thrombopathique et vasculaire
Purpura idiopathique, iatrogène et vasculaire
Purpura thrombopénique, iatrogène et vasculaire
60. Le syndrome hémorragique d’origine plaquettaire est :
Si taux de Plaquettes < 100.000/mm3
Si taux de Plaquettes < 80.000/mm3
Si taux de Plaquettes < 70.000/mm3
Si taux de Plaquettes < 20.000/mm3
61. Le syndrome hémorragique lié l’hémostase secondaire, on va faire le dosage :
Dosage du facteur de von Willebrand
Dosage de TP, TCA et INR
NFS- plaquettes
TS (Temps de Saignement)
62. Le syndrome hémorragique lié l’hémostase primaire, on va faire le dosage :
Temps de trombine
Dosage de TP, TCA et INR
NFS- plaquettes
Fibrinogène
63. Les douleurs pelviennes chroniques faisant craindre:
GEU
Appendicite
Torsion d’un kyste ovarien
Endométriose
64. Les causes des douleurs pelviennes aiguës sont:
GEU, Appendicite aiguë, Salpingite aiguë, Torsion d’annexe, Endométriose
GEU, Appendicite aiguë, Salpingite aiguë, Torsion d’annexe, Pyélonéphrite
GEU, Appendicite aiguë, Salpingite aiguë, Torsion d’annexe, Dysménorrhée
GEU, Appendicite aiguë, Salpingite aiguë, Torsion d’annexe, Herpès génital
65. Concernant le traitement des douleurs pelviennes, la proposition fausse est:
Traitement chirurgical pour des douleurs pelviennes d’origines chirurgicales d’emblée
AB et antifongiques ou antiviraux pour des douleurs pelviennes d’origines infectieuses
Traitement médical pour des douleurs pelviennes d’origines chirurgicales programmées
Antalgiques, antispasmodiques et progestatifs pour des douleurs pelviennes fonctionnelles
66. Les dyspareunies profondes orientent vers:
GEU
Endométriose
Appendicite
Torsion d’un kyste ovarien
67. Concernant des leucorrhées physiologiques, la proposition fausse est:
Elles proviennent de la desquamation endométriale et de la glaire cervicale
Abondance variable au cours du cycle menstruel (J8 à J15)
Caractère: pas après un rapport, d’odeur, de signes associées ; disparaissent spontanément
Retrouvées avant l’ovulation ou avant les règles
68. La cause plus fréquente des leucorrhées pathologiques chez la femme ménopausée est:
Carence hormonale
Infection génitale basse
Infection génitale haute
Néoplasie de l’appareil génital
69. La cause plus fréquente des leucorrhées pathologiques chez la femme en âge de procréation est:
Carence hormonale
Infection génitale basse
Infection génitale haute
Néoplasie de l’appareil génital
70. La cause plus fréquente des leucorrhées pathologiques chez la petite fille est:
Carence hormonale
Infection génitale basse
Infection génitale haute
Néoplasie de l’appareil génital
71. La cause d’aménorrhée secondaire pathologique est:
Ménopause
Post-pilule
Post-partum
Atteinte utérine
72. La cause d’aménorrhée physiologique est:
Grossesse
Post-pilule
Atteinte ovarienne
Atteinte utérine
73. La cause anatomique d’aménorrhée secondaire est:
Choc psychogène
Galactorrhée
Synéchie utérine
Carence oestrogénique
74. La cause d’aménorrhée physiologique est:
Post-pilule
Lactation
Atteinte ovarienne
Atteinte utérine
75. La cause d’aménorrhée physiologique est:
Post-pilule
Atteinte ovarienne
Ménopause
Atteinte utérine
76. Les éléments suivants sont des signes sympathiques de grossesse, quel élément n’est pas ?
Modifications de l’appétit
Nausées, vomissements matinaux
Hyposialorrhée
Tension mammaire
77. Le taux beta-hCG plasmatique très élevé, on fait craindre:
GEU
Grossesse môlaire
Fausse couche
Avortement provoqué
78. Le taux beta-hCG plasmatique peu élevé, on fait craindre:
GEU
Grossesse molaire
Fausse couche
Avortement provoqué
79. Concernant la stérilité, la proposition vraie est:
La stérilité est une absence de grossesse depuis de 10 ans, avec rapport sexuel et sans contraception
La stérilité secondaire n’a jamais eu de grossesse
La cause de stérilité est d’origine féminine dans environ 30 % des cas
La stérilité primaire a déjà eu au moins une grossesse
80. Les facteurs permettant d’aboutir à une fécondation, chez la femme il faut :
Ovulation régulière, de qualité correcte
Trompes imperméables
Muqueuse utérine non réceptive
Glaire cervicale épaisse
81. Les facteurs permettant d’aboutir à une fécondation, chez l’homme il faut :
Testicule normal, taux de FSH et testostérone bas, liquide séminal normal, absence d’anomalies
Testicule normal, taux de FSH et testostérone normal, liquide séminal normal, absence d’anomalies
Testicule normal, taux de FSH et testostérone normal, liquide séminal normal, absence d’épididymes
Testicule normal, taux de FSH et testostérone normal, liquide séminal normal, éjaculation rétrograde
82. Les causes de prurit génital sont:
Vulvo-vaginite, lichen scléreux, kyste Bartholin vulvaire
Vulvo-vaginite, vaginite atrophique, maladie de Bowen vulvaire
Vulvo-vaginite, lichen scléreux, maladie de Bowen vulvaire
Vulvo-vaginite, kyste Bartholin vulvaire, vaginite atrophique
83. Les leucorrhées associées des signes fonctionnels urinaires, les germes causant sont:
Flore vaginal, Trichomonas, Tréponème
Gonocoques, Tréponème, Trichomonas
Trichomonas, Gardnerella vaginalis, Tréponème
Gonocoques, Chlamydia, Trichomonas
84. Les leucorrhées associées des signes fonctionnels urinaires sont retrouvées dans:
Cervicite et cystite
Cervicite et urétérite
Vulvite et urétrite
Cystite et vaginite
85. La cause plus fréquente dans la mastodynie est :
Spécifique d’une pathologie
Origine fonctionnelle
Origine mixte
Dans le cadre des algies pelviennes aiguës
86. Les symptômes d’hyperthyroïdie sont :
Goitre, tachycardie, tremblement, Faiblesse musculaire proximale, Exophtalmie
Fatigue et faiblesse, Peau sèche, Sensation de froid, Chute de cheveux, Voix rauque
Intolérance à la chaleur et transpiration, Palpitations, Perte de poids avec augmentation de l'appétit
Difficulté à se concentrer et mauvaise mémoire, Prise de poids avec manque d'appétit
87. Les signes d’hyperthyroïdie sont :
Goitre, tachycardie, tremblement, Faiblesse musculaire proximale, Exophtalmie
Fatigue et faiblesse, Peau sèche, Sensation de froid, Chute de cheveux, Voix rauque
Intolérance à la chaleur et transpiration, Palpitations, Perte de poids avec augmentation de l'appétit
Difficulté à se concentrer et mauvaise mémoire, Prise de poids avec manque d'appétit
88. Les causes plus fréquentes d’hyperthyroïdie sont :
Troubles infiltrants de la thyroïde: amyloïdose, sarcoïdose, hémochromatose, sclérodermie
Excès en iodine, Struma ovarii, Causes secondaires (TSH ou ßHCG)
Thyroïdite ou autres causes de la destruction, Thyrotoxicose factice, Struma ovarii
Maladie de Basedow, Goitre multinodulaire toxique, Nodule thyroïdien fonctionné autonome
89. Le diagnostic de Maladie de Basedow est :
TSH diminué, free T4 diminué, TSH-R [stim] Ab, Nuclear thyroid scintigraphy
TSH diminué, free T4 augmenté, TSH-R [stim] Ab, Nuclear thyroid scintigraphy
TSH augmenté, free T4 diminué, TSH-R [stim] Ab, Nuclear thyroid scintigraphy
TSH augmenté, free T4 augmenté, TSH-R [stim] Ab, Nuclear thyroid scintigraphy
90. Les symptômes d’hypothyroïdie sont :
Goitre, tachycardie, tremblement, Faiblesse musculaire proximale, Exophtalmie
Fatigue et faiblesse, Peau sèche, Sensation de froid, Chute de cheveux, Voix rauque
Intolérance à la chaleur et transpiration, Palpitations, Perte de poids avec augmentation de l'appétit
Hyperactivité / irritabilité / dysphorie, La diarrhée, Polyurie, Oligoménorrhée, perte de libido
91. Les signes d’hypothyroïdie sont :
Fatigue et faiblesse, Peau sèche, Sensation de froid, Chute de cheveux, Voix rauque
Intolérance à la chaleur et transpiration, Palpitations, Perte de poids avec augmentation de l'appétit
Difficulté à se concentrer et mauvaise mémoire, Prise de poids avec manque d'appétit
Myxœdème, Sd du canal carpien, Bradycardie, Alopécie, Epanchements des cavités séreuses
92. Les causes plus fréquentes d’hypothyroïdie sont :
Troubles infiltrants de la thyroïde: amyloïdose, sarcoïdose, hémochromatose, sclérodermie
Excès en iodine, Struma ovarii, Causes secondaires (TSH ou ßHCG)
Hypothyroïdie autoimmune, Iatrogène (traitement de I123, thyroïdectomie, radiation du cou)
Médicaments: excès en iodine, lithium, antithyroïdien, Déficit en iodine
93. Les examens complémentaires retrouvés dans l’hypothyroïdie sont :
Anémie macrocytaire, ECG: Bradycardie, TSH et T4 libre diminué; S-CK et s-TG augmenté
Anémie microcytaire, ECG: Bradycardie, TSH augmenté, T4 libre diminué ; S-CK augmenté
Anémie macrocytaire, ECG: Bradycardie, TSH augmenté, T4 libre diminué ; S-CK augmenté
Anémie macrocytaire, ECG: Bradycardie, TSH augmenté, T4 libre diminué ; S-CK diminué
94. Le type plus fréquent de thyroïdite est :
Thyroïdite chronique auto-immune
Thyroïdite aiguë bactérienne
Thyroïdite subaiguë virale
Thyroïdite granulomateuse
95. Le type de thyroïdite d’origine virale est :
Thyroïdite chronique
Thyroïdite aiguë
Thyroïdite subaiguë
Thyroïdite subchronique
96. Le type de thyroïdite d’origine bactérienne est :
Thyroïdite chronique
Thyroïdite aiguë
Thyroïdite subaiguë
Thyroïdite subchronique
97. Tout éléments ci-dessous sont des troubles des glandes surrénales en hyperactivité sauf :
Syndrome de Cushing
Hyperaldostéronisme
Syndrome adréno-génital
Maladie d’Addison
98. Tout éléments ci-dessous sont des troubles des glandes surrénales en hypoactivité sauf :
Crise d’Addison
Hyperplasie congénitale surrénalienne
Syndrome adréno-génital
Maladie d’Addison
99. Tumeur des glandes surrénales donnant le syndrome de Conn est :
Tumeur sécrétant cortisol
Tumeur sécrétant aldostérone
Phéochromocytome
Carcinome des glandes surrénales
100. Tumeur des glandes surrénales donnant le syndrome de Cushing est :
Tumeur sécrétant cortisol
Tumeur sécrétant aldostérone
Phéochromocytome
Carcinome des glandes surrénales
101. Tout éléments ci-dessous sont des étiologies du syndrome de Cushing sauf un :
Tumeur primitive du cortex surrénalien
Tumeur primitive à l’antéhypophyse
Tumeur ectopique sécrétant ACTH (poumon, pancréas)
Administration iatrogène des corticoïdes
102. Symptômes et signes du syndrome de Cushing sont :
Mélanodermie, hTA, Amaigrissement, Asthénie, Appétit pour le sel, Aménorrhée
HTA, insuffisance cardiaque dilatée, Thorax élargie, augmentation de pointure des chaussures
Sueurs et palpitations, céphalées, HTA, Pâleur et froideur des extrémités, Tremblements
Obésité, HTA, Intolérance du glucose, Hirsutisme ̧ Aménorrhée, Vergetures
103. Symptômes et signes de Phéochromocytome sont :
Mélanodermie, hTA, Amaigrissement, Asthénie, Appétit pour le sel, Aménorrhée
HTA, insuffisance cardiaque dilatée, Thorax élargie, augmentation de pointure des chaussures
Sueurs et palpitations, céphalées, HTA, Pâleur et froideur des extrémités, Tremblements
Obésité, HTA, Intolérance du glucose, Hirsutisme ̧ Aménorrhée, Vergetures
104. Symptômes et signes de l’insuffisance surrénale sont :
Mélanodermie, hTA, Amaigrissement, Asthénie, Appétit pour le sel, Aménorrhée
HTA, insuffisance cardiaque dilatée, Thorax élargie, augmentation de pointure des chaussures
Sueurs et palpitations, céphalées, HTA, Pâleur et froideur des extrémités, Tremblements
Obésité, HTA, Intolérance du glucose, Hirsutisme ̧ Aménorrhée, Vergetures
105. Les 3 signes importants de l’insuffisance surrénale aiguë sont :
Asthénie, Appétit pour le sel, Aménorrhée
Mélanodermie, hTA, Amaigrissement
Choc hypovolémique, Déshydratation, Hypoglycémie
Asthénie, Aménorrhée, Douleurs abdominales intenses
106. Les triades de Ménard de Phéochromocytome sont :
Asthénie, Appétit pour le sel, Aménorrhée
Céphalées, Sueurs, Palpitations
Asthénie, Aménorrhée, Douleurs abdominales
Pâleur, Tremblements, HTA
107. La mélanodermie est un signe spécifique dans :
Syndrome de Cushing
Phéochromocytome
Crise d’Addison
Syndrome d’Addison
108. Trois signes doivent être présents dans l’insuffisance surrénale :
TAs < 130 mmHg, Asthénie, Tremblements
TAs < 130 mmHg, Asthénie, Céphalée
TAs < 130 mmHg, Asthénie, Amaigrissement
TAs > 130 mmHg, Asthénie, Amaigrissement
109. La cause plus fréquente de l’insuffisance surrénale chronique est:
Destruction autoimmune des surrénales
Tuberculose des surrénales
Atteinte hypophysaire organique
Corticothérapie au long cours
110. Les 3 signes biologiques importants de l’insuffisance surrénale aiguë sont :
Hypoglycémie, hyperkaliémie et hypernatrémie
Hypoglycémie, hyperkaliémie et hyponatrémie
Hypoglycémie, hypokaliémie et hyponatrémie
Hypoglycémie, hypokaliémie et hypernatrémie
111. Tumeur des glandes surrénales sécrétant des catécholamines est :
Syndrome de Cushing
Syndrome de Conn
Phéochromocytome
Carcinome des glandes surrénales
112. Deux types de symptômes cliniques d’hypersécrétion GH hypophysaire est:
Syndrome dysmorphique et Atteinte osseuse
Syndrome dysmorphique et Atteinte rénale
Syndrome dysmorphique et Atteinte hépatique
Syndrome dysmorphique et Atteinte cardiovasculaire
113. Quatre éléments du syndrome dysmorphique d’hypersécrétion GH hypophysaire sont:
Taille augmentée, Faciès acromégalie, Doigts boudinés, Thorax élargie
Taille augmentée, Faciès acromégalie, HTA, Thorax élargie
Taille augmentée, Faciès acromégalie, Doigts boudinés, HTA
Taille augmentée, Faciès acromégalie, Insuffisance cardiaque, HTA
114. Deux signes d’atteinte cardiovasculaire d’hypersécrétion GH hypophysaire sont:
HTA et Insuffisance du ventricule gauche
HTA et Cardiomyopathie
Insuffisance cardiaque congestive et HTA
Insuffisance cardiaque dilaté et HTA
115. Faciès et main acromégalie sont des signes caractéristiques de l’hypersécrétion de :
Prolactine
Hormone de croissance
Dopamine
Ocytocine
116. Les causes de l’hyperprolactinémie sont :
Grossesse, tumeur hypothalamique et médicaments
Grossesse, tumeur du sein et médicaments
Grossesse, tumeur hypophysaire et médicaments
Grossesse, tumeur du sein et tumeur hypophysaire
117. Les signes cliniques de l’hyperprolactinémie chez la femme sont :
Galactorrhée, gynécomastie, impuissance
Galactorrhée, impuissance, aménorrhée
Galactorrhée, gynécomastie, aménorrhée
Galactorrhée, aménorrhée, baisse de libido
118. Les signes cliniques de l’hyperprolactinémie chez l’homme sont :
Gynécomastie, impuissance
Gynécomastie, éjaculation rétrograde
Impuissance, éjaculation rétrograde
Baisse de libido, gynécomastie
119. Les signes cliniques traduisent le dysfonctionnement de l’hypophyse pouvant toucher :
3 axes hormonaux
4 axes hormonaux
5 axes hormonaux
6 axes hormonaux
120. Les 4 signes importants de l’insuffisance anté-hypophysaire sont :
Asthénie, malaise, signes cutanés et signes digestifs
Asthénie, malaise, signes cutanés et signes sexuels
Asthénie, anorexie, signes cutanés et signes sexuels
Asthénie, amaigrissement, fièvre et signes sexuels
121. Le syndrome de Sheehan est retrouvé dans :
Tumeur sécrétant prolactine
Adénome hypophysaire
Nécrose hypophysaire post-partum
Tumeur hypothalamique
122. Triade agalactie du syndrome de Sheehan sont :
Absence de montée laiteuse, hypoglycémie, aménorrhée
Absence de montée laiteuse, anorexie, aménorrhée
Absence de montée laiteuse, asthénie, aménorrhée
Absence de montée laiteuse, amaigrissement, aménorrhée
123. Malaise hypoglycémique peut retrouver dans :
Insuffisance thyréotrope
Insuffisance gonadotrope
Insuffisance somatotrope
Insuffisance corticotrope
124. Signes sexuels comme aménorrhée ou impuissance peuvent retrouver dans :
Insuffisance thyréotrope
Insuffisance gonadotrope
Insuffisance somatotrope
Insuffisance corticotrope
125. Asthénie peut absent dans :
Insuffisance thyréotrope
Insuffisance somatotrope
Insuffisance gonadotrope
Insuffisance corticotrope
126. D’après les recommandations de l’OMS, Glycémie à jeun normale est :
Egale 1,2 g/L
Egale 1,10 g/L
Supérieur de 1,10 g/L
Inférieur de 1,10 g/L
127. Le diabète sucré se définit par:
Hyperglycémie chronique : glycémie à jeun supérieure à 1,1 g/L à deux reprises
Hyperglycémie chronique : glycémie à jeun supérieure à 1,16 g/L à quatre reprises
Hyperglycémie chronique : glycémie à jeun supérieure à 1,26 g/L à deux reprises
Hyperglycémie chronique : glycémie à jeun supérieure à 1,1 g/L à une reprise
128. Le diabète sucré se définit par:
Hyperglycémie chronique : glycémie aléatoire supérieure à 2 g/L
Hyperglycémie chronique : glycémie aléatoire supérieure à 1,1 g/L
Hyperglycémie chronique : glycémie aléatoire supérieure à 2,5 g/L
Hyperglycémie chronique : glycémie aléatoire supérieure à 2,3 g/L
129. Le type du diabète sucré survient pendant la grossesse est:
Diabète sucré de type 1
Diabète sucré de type 2
Diabète gestationnel
Diabète sucré secondaire
130. Le type plus fréquent du diabète sucré peut retrouver:
Diabète sucré de type 1
Diabète sucré de type 2
Diabète gestationnel
Diabète sucré secondaire
131. Le type du diabète sucré relié au mécanisme auto-immun est:
Diabète sucré de type 1
Diabète sucré de type 2
Diabète gestationnel
Diabète sucré secondaire
132. La cause principale de mortalité du diabète sucré de type 1 est:
Maladie cardiovasculaire
Insuffisance rénale
Insuffisance hépatique
Insuffisance cardiaque
133. La cause principale de mortalité du diabète sucré de type 2 est:
Maladie cardiovasculaire
Insuffisance rénale
Insuffisance hépatique
Insuffisance cardiaque
134. Le syndrome cardinal du diabète sucré de type 1 est:
Polyuro-polydypsie, amaigrissement, prurit vulvaire
Polyuro-polydypsie, amaigrissement, balanite
Polyuro-polydypsie, amaigrissement, polyphagie
Polyuro-polydypsie, amaigrissement, infection récidivante
135. La dyspnée de Kussmaul est retrouvée dans:
Diabète sucré de type 1
Diabète sucré de type 2
Diabète gestationnel
Diabète sucré secondaire
136. Les caractéristiques du diabète sucré de type 1 sont:
Début lent et insidieux, âge de survenue avant 35 ans, syndrome cardinal, glycosurie massive
Début rapide ou explosif, âge de survenue après 35 ans, syndrome cardinal, glycosurie modérée
Début lent et insidieux, âge de survenue après 35 ans, syndrome cardinal, glycosurie massive
Début rapide ou explosif, âge de survenue avant 35 ans, syndrome cardinal, glycosurie massive
137. Les caractéristiques du diabète sucré de type 2 sont:
Début lent et insidieux, âge de survenue avant 35 ans, syndrome cardinal, glycosurie massive
Début rapide ou explosif, âge de survenue après 35 ans, syndrome cardinal, glycosurie modérée
Début lent et insidieux, âge de survenue après 35 ans, symptomatologie pauvre, obésité abdominale
Début rapide ou explosif, âge de survenue avant 35 ans, syndrome cardinal, glycosurie massive
138. Les complications du diabète sucré sont :
Complications métaboliques, neurologiques, macroangiopathiques
Complications métaboliques, microangiopathiques, macroangiopathiques
Complications non dégénératives, microangiopathiques, macroangiopathiques
Complications métaboliques, endocriniennes, macroangiopathiques
139. Les complications métaboliques du diabète sucré sont :
Rétinopathie, néphropathie, neuropathie
Complications de l’athérosclérose comme AVC, IDM, artérite des MI
Comas hypoglycémique, hyperosmolaire, acidocétosique et l’acidose lactique
Retinopathie, néphropathie, neuropathie, encéphalopathie
140. Les complications macroangiopathiques du diabète sucré sont :
Rétinopathie, néphropathie, neuropathie
Complications de l’athérosclérose comme AVC, IDM, artérite des MI
Comas hypoglycémique, hyperosmolaire, acidocétosique et l’acidose lactique
Retinopathie, néphropathie, neuropathie, encéphalopathie
141. Les objectifs glycémiques et adaptation thérapeutique dans le diabète de type 2 sont :
HbA1c (%) et Glycémie moyenne
Glycémie capillaire moyenne et signes cliniques
Complications dégénératives et glycémie moyenne
HbA1c (%) et Complications dégénératives
142. Point de départ initial de la stratégie générale de prise en charge du diabète de type 2 est :
Association d’antidiabétiques oraux
Monothérapie par voie orale
Régime et activité physique
Insuline + traitement oral
143. Option terminale de la stratégie générale de prise en charge du diabète de type 2 est :
Association d’antidiabétiques oraux
Monothérapie par voie orale
Insuline + traitement oral
Insuline seule
144. Si le taux d’HbA1c supérieur à 8 % et Glycémie moyenne > 1,80 g/L, on doit faire:
Evaluer le rapport bénéfice/risque et la marge thérapeutique
Maintenir le traitement en cours sauf si hypoglycémie
Renforcement thérapeutique indispensable
Renforcer l’observance et le traitement oral
145. Si le taux d’HbA1c inf. ou égale 6,5 % et Glycémie moyenne inf. ou égale 1,2 g/L, on doit:
Evaluer le rapport bénéfice/risque et la marge thérapeutique
Maintenir le traitement en cours sauf si hypoglycémie
Renforcement thérapeutique indispensable
Renforcer l’observance et le traitement oral
146. Les causes d’hypoglycémie sont:
Causes organiques et causes médicamenteuses
Causes fonctionnelles et causes nutritionnelles
Causes idiopathiques et causes mécaniques
Causes médicamenteuses et causes nutritionnelles
147. Les symptômes neurovégétatifs surviennent, en général, pour des glycémies :
inférieures à 0,4 g/L
Inférieures à 0,5 g/L
Inférieures à 0,6 g/L
inférieures à 0,7 g/L
148. Les signes de neuroglycopénie pour des glycémies:
inférieures à 0,4 g/L
Inférieures à 0,5 g/L
inférieures à 0,6 g/L
Inférieures à 0,7 g/L
149. Les principaux signes neurovégétatifs sont :
Sueurs, tremblements, tachycardie, anxiété, déficit neurologique, crise comitiale, coma
Difficultés de langage, troubles psychiatriques, syndrome confusionnel
Asthénie, difficultés de concentration, troubles visuels, céphalées
Sueurs, tremblements, tachycardie, anxiété, nausées, fringale
150. Les principaux signes neuroglycopénie sont :
Sueurs, tremblements, tachycardie, anxiété, déficit neurologique, crise comitiale, coma
Difficultés de langage, troubles psychiatriques, sueurs, anxiété, tremblements
Asthénie, difficultés de concentration, troubles visuels, céphalées, syndrome confusionnel
Sueurs, tremblements, tachycardie, anxiété, nausées, fringale, crise comitiale, coma
151. Crise comitiale et coma hypoglycémique surviennent si la glycémie :
Inférieures à 0,5 g/L
Inférieures à 0,6 g/L
Inférieures à 0,7 g/L
Inférieures à 0,8 g/L
152. Causes secondaires à l’hypoglycémie liées des maladies:
Acromégalie, Sd de Conn, Thyrotoxicose, Phéochromocytome, pancréatite aiguë, cancer
Acromégalie, Sd de Cushing, Thyrotoxicose, Phéochromocytome, pancréatite chronique, cancer
Acromégalie, Sd de Conn, Thyrotoxicose, Phéochromocytome, gastrite aiguë, cancer
Acromégalie, Sd de Cushing, Thyrotoxicose, Phéochromocytome, entérocolite, cancer
153. Traitement de malaise hypoglycémique est:
Sucres d’absorption rapide par voie orale, PIV de D5% 500 ml en cas trouble de conscience
Sucres d’absorption normale par voie orale, Injection IV de glucose en cas trouble de conscience
Réduction la dose d’antidiabétique orale, Injection IV de glucose en cas trouble de conscience
Sucres d’absorption rapide par voie orale, Injection IV de glucose en cas trouble de conscience
154. Tout éléments sont le traitement à long terme des hypoglycémies organiques sauf un :
Traitement chirurgical si la tumeur possible d’ablation
Chimiothérapie si tumeur maligne
Sucres d’absorption rapide par voie orale et Injection IV de glucose
Traitement adapté pour des autres causes
155. Les caractéristiques de douleur mécanique en rhumatologie:
Douleur nocturne, matin > soir, au repos, amélioration �  l’activité, caractère non positionnel
Douleur diurne, soir > matin, �  l’activité et soulager par repos, caractère positionnel
Douleur nocturne, matin = soir, à l’activité, amélioration au repos, caractère non positionnel
Douleur diurne, matin > soir, au repos, amélioration �  l’activité, caractère positionnel
156. Les caractéristiques de douleur inflammatoire en rhumatologie:
Douleur nocturne, matin > soir, au repos, amélioration �  l’activité, caractère non positionnel
Douleur diurne, soir > matin, �  l’activité et soulager par repos, caractère positionnel
Douleur nocturne, matin = soir, à l’activité, amélioration au repos, caractère non positionnel
Douleur diurne, matin > soir, au repos, amélioration �  l’activité, caractère positionnel
157. Les caractéristiques du syndrome inflammatoire en rhumatologie:
Examen local normal, signes généraux absents, liquide mécanique
Signes locaux : rougeur, chaleur, tuméfaction, fièvre, liquide inflammatoire
Examen local subnormal, signes généraux minimes, liquide mécanique
Examen local normal ou épanchement, signes généraux absents, liquide mécanique
158. Les caractéristiques du syndrome mécanique en rhumatologie:
Examen local normal, signes généraux : fièvre, liquide inflammatoire
Signes locaux : rougeur, chaleur, tuméfaction, fièvre, liquide inflammatoire
Examen local subnormal, signes généraux minimes : fièvre, liquide mécanique
Examen local normal ou épanchement, signes généraux absents, liquide mécanique
159. Les auto-anticorps retrouvés en rhumatologie:
Antinucléaires, antiCCP, Anti-AChR
Antinucléaires, antiCCP, TSH-R [stim] Ab
Antinucléaires, antiCCP, facteurs rhumatoïdes
Antinucléaires, Anti-AChR, facteurs rhumatoïdes
160. Les urgences en rhumatologie sont:
Arthrose et ostéoporose débutante
Infection ostéo-articulaire et sciatique
Polyarthrite rhumatoïde et arthrose
Ostéomalacie et arthrose
161. Les caractéristiques de l’arthrite septique sont:
Douleur mono-articulaire brutale, impotence fonctionnelle totale, fièvre, signes locaux
Douleur multi-articulaire, impotence fonctionnelle incomplète, fébrile, signes locaux
Douleur mono-articulaire, impotence fonctionnelle, signes locaux, pas de fièvre
Douleur multi-articulaire à la mobilisation, raideur articulaire, signes locaux
162. Toute monoarthrite aiguë fébrile doit faire suspecter:
Arthrite aseptique
Arthrite septique
Arthrose
RAA
163. Les germes en cause de l’arthrite septique sont:
Bacille de Koch, Bacilles gram positifs, Staphylocoques, Mycoplasma
Tréponème, Gonocoque, Méningocoque, Staphylocoques, Streptocoques
Staphylocoques, Bacilles gram négatifs, Streptocoques β-hémolytiques
Staphylocoques, Bacille de Koch, Bacilles gram positifs et négatifs
164. Le moyen de diagnostic positif de l’arthrite septique est:
Hémogramme
Hémoculture
Ponction articulaire
Ponction articulaire et hémoculture
165. En cas de lombalgie fébrile, on fait craindre:
Arthrite septique
Spondylodiscite infectieuse
Arthrose lombaire
Hernie discale
166. Une spondylodiscite est:
Infection d’un disque intervertébral et des corps vertébraux adjacents
Infection d’un disque intervertébral et des arcs vertébraux postérieurs
Infection des corps vertébraux et des arcs vertébraux postérieurs
Infection des corps vertébraux et de la moelle épinière
167. En cas de spondylodiscite infectieuse, on fait craindre:
Arthrite septique
Arthrose lombaire
Mal de Pott
Hernie discale
168. En cas de spondylodiscite infectieuse, on fait craindre:
Arthrite septique
Arthrose lombaire
Hernie discale
Ostéomyélite
169. Tout éléments sont des aspects cliniques de spondylodiscite infectieuse sauf un:
Douleur rachidienne invalidante
Horaire mécanique
Raideur majeur
Fièvre
170. Tout éléments sont des rhumatologies pédiatriques sauf un:
Arthrites Juvéniles Idiopathiques
Rhumatismes Articulaires Aigus
Ostéoporose
Rhume de Hanche
171. Tout éléments sont des rhumatologies pédiatriques sauf un:
Arthrites Juvéniles Idiopathiques
Rhumatismes Articulaires Aigus
Ostéochondrite
Arthrose
172. Tout éléments sont des caractéristiques des arthrites juvéniles idiopathiques sauf un:
Rhumatisme inflammatoire
Début avant 10 ans
Minimum 1 arthrite
Durée 6 semaines
173. Les 3 formes cliniques des arthrites juvéniles idiopathiques sont:
Forme systémique, oligo-articulaire, poly-articulaire
Forme auto-immune, mono-articulaire, poly-articulaire
Forme loco-régionale, oligo-articulaire, poly-articulaire
Forme générale, mono-articulaire, poly-articulaire
174. Rhumatismes Articulaires Aigus sont pathologies systémiques, le germe causant est:
Staphylocoques aureus
Bacille de Koch
Streptocoque bêta hémolytique du groupe alpha
Germe inconnue
175. Après l’infection pharyngée par Streptocoque groupe A, les autres organes atteints sont:
Articulation, cœur, peau, poumons
Articulation, cœur, peau, moelle osseuse
Articulation, cœur, peau, cerveau
Articulation, cœur, peau, glandes surrénales
176. Tout éléments sont des caractéristiques d’atteinte articulaire de RAA sauf un:
Maladie aigue fébrile
Polyarthrite non destructrice
Récurrences fréquentes
Petites articulations
177. Tout éléments sont des caractéristiques de synovite aigue transitoire sauf un:
Souvent fait suite à infection ORL/digestive
Radiographie de la hanche: destruction articulaire
Syndrome fébrile
Echographie : épanchement articulaire
178. Tout éléments sont des caractéristiques d’Ostéochondrite sauf un:
Nécrose (ischémie) épiphyse fémorale supérieure
Survient à l’âge de 4 à 8 ans
Prédominance féminine (80%)
Signes radiographiques ++ : intérêt de radiographie à 6 semaines
179. La localisation plus fréquente de l’hernie discale est:
L3-L4 et L4-L5
L4-L5 et L5-S1
L5-S1 et S1-S2
C4-C5 et C5-C6
180. Tout éléments sont des urgences rhumatologiques sauf un:
Spondylodiscite infectieuse
Syndrome de la queue de cheval
Arthrite septique
Ostéoporose
1. Quel est l'élément sémiologique qui permet d'affirmer l'origine cardiaque d'une hépatomégalie?
Oedème des membres inférieurs
Ascite
Reflux hépatojugulaire
Caractère douloureux
2.Quelle est la complication évolutive la plus fréquente d'un anévrysme de l'aorte abdominale sous rénale ?
Compression urétérale
Thrombose de l'aorte
Rupture
Fistulisation dans la veine cave inférieure
3.Parmi les éléments suivants de la sémiologie clinique du rétrécissement mitral, quel est celui qui disparait lorsqu'apparait une arythmie complète par fibrillation auriculaire ?
Eclat du premier bruit
Claquement d'ouverture mitrale
Renforcement présystolique du roulement diastolique
Roulement diastolique
4. Parmi les propositions suivantes relatives à une insuffisance mitrale importante, une seule est exacte, laquelle ?
Le souffle est à prédominance méso-systolique
Il existe un B3 de remplissage rapide
La pression artérielle diastolique est basse avec pression différentielle élargie
Le VG peut demeurer normal radiologiquement par hypertrophie concentrique
5. L'une de ces complications ne fait pas partie du tableau de dissection aiguë de l'aorte. Laquelle ?
Hémopéricarde
Insuffisance mitrale aiguë
hémothorax
accident vasculaire cérébral
6.Parmi les examens ci-dessous, lequel n'entre pas dans le bilan de retentissement d'une HTA ?
Fond d'œil
échographie cardiaque
électrocardiogramme
Ionogramme urinaire
7. Les caractères du frottement péricardique sont les suivants, sauf un. Lequel ?
Superficiel mésocardiaque
Protosystolique et télédiastolique
Doux froissement de la soie
Persiste en apnée
8. Concernant la douleur de péricardite aiguë, toutes les propositions suivantes sont justes, sauf une. Laquelle ?
La douleur s'accentue volontiers lors des mouvements respiratoires
la douleur peut s'accompagner de troubles du rythme supra-ventriculaires
l'ECG peut montrer des troubles diffus de la repolarisation
la douleur peut s'accompagner d'un frottement péricardique disparaissant en apnée
9. Parmi les propositions concernant l'infarctus du myocarde chez la personne âgée, laquelle est fausse ?
la défaillance cardiaque est une complication fréquente
La douleur thoracique est la manifestation la plus fréquente
Des nausées et vomissements peuvent être l'expression d'un infarctus du myocarde
Une syncope peut révéler un infarctus du myocarde
10. Quelle est la proposition ne concerne pas le souffle d’insuffisance mitrale ?
Siège à la pointe et irradie habituellement vers l’aisselle Siège à la pointe et irradie habituellement vers l’aisselle
Peut irradier préférentiellement vers le bord gauche du sternum et vers le haut
Débute habituellement dès le 1er bruit Débute habituellement dès le 1er bruit
Est proportionnel à l’intensité de la régurgitation
11. Au cours de l’insuffisance ventriculaire gauche (quelques soit la cause), l’auscultation cardiaque permet de retrouvée :
Une tachycardie avec souffle systolique de pointe
Un bruit intense diastolique
Un souffle diastolique de pointe
Un souffle diastolique d’insuffisance aortique fonctionnelle
12. Le facteur de risque cardio-vasculaire, accessibles à une prévention primaire, comporte:
L'hérédité
Le génétique
L'hypercholestérolémie
Le sex et l’âge
13. L’orthopnée : Survient à l'orthostatisme
Survient à l'effort
Survient en décubitus
Est un signe d'insuffisance cardiaque droite
Peut s'accompagner une hyperthermie majeure
14. Une signe ne caractère pas les symptômes de l’œdème aigu pulmonaire, laquelle ?
La dyspnée avec bradypnée expiratoire
L'orthopnée
Le grésillement laryngé et la toux
l'expectoration mousseuse rosée saumonée
15. Devant la découverte d'une masse abdominale sus-ombilicale, l'existence d'un anévrisme de l'aorte sera suspectée devant:
Le caractère douloureux de cette masse
Le caractère battant et/ou expansif de cette masse
Le caractère palpable et impossible de compression
La perception d'un "thrill"
16. L'hépatomégalie de l'insuffisance cardiaque :
est dure avec une surface irrégulière
Est lisse et douloureuse à la palpation
Est totalement indolore à la palpation
Est généralement associée à une vésicule palpable
17. Monsieur X, 70 ans, consulte pour gêne douloureuse à la marche. Depuis 3 mois, il s'arrête au bout de 300 m à cause de sa jambe droite, il se repose quelques minutes et repart sans problème. Dans ses antécédents, on note tabagisme à 50 paquets-années, hypercholestérolémie non traitée, hypertension artérielle traitée. Cliniquement : poids: 90 kilos pour 1 m71, tension artérielle = 140/80 mmHg, pouls = 87/minute. Souffle systolique fémoral droit, abolition des pouls pédieux droit, tibiaux postérieurs. Le reste de l'examen, en particulier neurologique et abdominal est normal.Quel est le diagnostic clinique de ce patient?
Claudications médullaires
Claudications vasculaires
Arthrite de la jambe droite
Sciatique de jambe droite
18. Monsieur X., 65 ans, consulte pour asthénie avec dyspnée d'effort. Antécédents: Soins dentaires il y a sept mois. Souffle holosystolique intense, apexoaxillaire 3/6°, en jet de vapeur, avec perception d'un B3 (protodiastolique) endapexien. La tension artérielle est à 110/80 mmHg. Le reste de l'examen est normal.Quel diagnostic clinique évoquez-vous de ce patient?
Insuffisance mitrale
Rétrécissement mitrale
Insuffisance aortique
Rétrécissement aortique
19. Une femme de 42 ans est hospitalisée pour dyspnée d'effort et dyspnée paroxystique nocturne. Cette dyspnée s'est installée insidieusement sur deux ans, mais s'est rapidement aggravée la semaine passée, avec épisodes d'orthopnée nocturne. Cette femme n'a pas d'antécédents pathologiques. Auscultation : souffle diastolique en écharpe 4/6°, souffle systolique endapexien éjectionnel 2/6°, troisième bruit à l'endapex. Hyperpulsatilité artérielle périphérique, tension artérielle = 130/60 mmHg, pouls = 88/mn, apyrexie.Quel diagnostic clinique évoquez-vous ?
Insuffisance mitrale
Rétrécissement mitrale
Insuffisance aortique
Rétrécissement aortique
20. Monsieur V., 72 ans, consulte en cardiologie pour chute dûe à une perte de connaissance à l'effort. Quel diagnostic clinique évoquez-vous ?
Insuffisance mitrale
Rétrécissement mitrale
Insuffisance aortique
Rétrécissement aortique
21. Un patient de 75 ans est admis aux urgences médicales pour une douleur thoracique brutale constrictive avec sensation de déchirure irradiant dans le dos survenue 3 heures auparavant. Ces antécédents sont marqués par : Un tabagisme chiffré à 24 paquets/année, Un diabète non insulino-dépendant traité par metformine. Une hypertension artérielle traitée par une quadrithérapie associant : diurétique de l’anse, anticalcique, inhibiteur de l’enzyme de conversion et bétabloquant, Une fracture du col fémoral ayant nécessité une ostéosynthèse "clou-plaque" en 1995. La taille est de 189 cm pour 95 kg. La tension artérielle est de 210 /125 mmHg et la fréquence cardiaque est chiffrée à 78/min. L’auscultation cardio-pulmonaire est normale. Les pouls périphériques sont absents en fémoral.Quel diagnostic clinique évoquez-vous ?
Dissection aortique
Infarctus du myocarde (IDM)
Embolie pulmonaire
Péricardite
22. Mr R, 66 ans, est une patiente diabétique non insulino-dépendante et hypertendue. Dans ses antécédents, on retient une néphropathie diabétique et un infarctus du myocarde vu tardivement il y a 4 ans. Elle signale depuis quelques mois des douleurs thoraciques antérieures constrictives sur quelques minutes et irradiation au mâchoire et bras gauche.Quelle hypothèse diagnostique pouvez-vous formuler devant ce tableau clinique ?
Douleurs d'origine cardiaque : Angor
Douleurs d'origine digestive : spasme œsophagien reflux gastro-œsophagien
Douleurs pariétales
Douleur d’origine pulmonaire
23. Mme G est âgé de 56 ans. Elle pèse 85 kg pour 165 et observe des œdèmes des membres inférieurs de plus en plus importants en fin de journée alors que selon elle ses jambes dégonflent franchement le matin. On lui connaît un artériopathie des membres inférieurs non évolutive actuellement avec un périmètre de marche à 150 mètres. L’examen neurologique des membres inférieurs objective une aréflexie aux membres inférieurs, des troubles de la sensibilité et sans atteinte motrice nette. Brutalement elle se plaint d’une douleur aiguë du pied gauche. Celui-ci apparaît blanc et froid. La patiente est non fébrile.Quel est votre diagnostic ?
Ischémie aigue de jambe
Sténose athéromateuse complétée
Sténose athéromateuse non complète
Thrombophlébite
24. Le quadrant supérieur droit de l’abdomen est :
Flanc droit
L’hypochondre droit
La fosse iliaque droite
L’hypogastre
25. La région épigastrique est:
Située dans la partie centrale haute de l’abdomen
Située dans la partie centrale base de l’abdomen
La région où sont localisés les reins
Une séparation entre les 2 fosses iliaques : la droite et la gauche
26. La douleur pancréatique :
Est localisée dans la région hypogastrique
Est épigastrique projette dans l’organe génital externe
Est initialement épigastrique, transfixiante et projette dans le dos
Peut irradier vers l’épaule droite
27. La dysphagie du cancer de l’œsophage :
Est brutale et concerne d’abord les aliments solides puis les liquides
Est progressive et concerne d’abord les aliments solides puis les liquides
Est douloureuse et concerne les aliments solides
Est douloureuse et concerne les aliments liquides chauds
28. La dysphagie de l’œsophagite :
Constante
Ne s’associe pas à un pyrosis
Est intermittente
Est progressive
29. Le pyrosis :
Est une brûlure épigastrique, déclenchée par les changements de position
Est une douleur qui irradie vers la région hypogastrique
Les changements de position n’est pas déclenché la douleur.
Peut se manifester par des douleurs abdominales
30. La douleur gastrique ou duodénale :
Siège dans l’hypocondre gauche
Siège épigastrique transfixiante et projette dans le dos
Est habituellement sans irradiation et calmée par le bol alimentaire
Est soulagée par l’antéflexion du buste
31. Quelle est la proposition qui ne concerne pas la douleur de colique hépatique ?
Est à type de décharge électrique
Siège dans l’hypochondre droit dans 1/3 des cas
Irradie vers l’épaule droite
Irradie en hémi-ceinture vers le flanc droit
32. L’ictère à bilirubine conjuguée se caractérise par:
S’associe à des urines claires, des selles très colorées
S’associe à des urines foncées, des selles décolorées et peut-être lié à un obstacle hépatique
S’associe à des urines claires et hémolyse
S’associe à des selles décolorées et non prurit
33. Quelle est la proposition qui ne concerne pas l’obstruction des voies biliaires extra-hépatiques ?
Se manifeste par un prurit
Ne s’associe pas à un ictère
Peut s’accompagner de fièvre
S’associe parfois à une hépatomégalie importante
34. Quelle est la proposition qui ne concerne pas l’hypertension portale ?
Peut se manifester par une circulation veineuse collatérale abdominale
Peut s’associer à une splénomégalie
Peut traitée par des médicaments anti-hypertenseurs
Peut s’accompagner de varices œsophagiennes
35. L’ascite :
Est un épanchement liquidien extra-péritonéal
Est due à une insuffisance cardiaque gauche
Entraine l’apparition d’une matité abdominale déclive
Peut-être à l’origine d’un signe du glaçon négatif
36. Au cours de l’encéphalopathie hépatique :
On peut constater une flexion-extension des poignets et des articulations métacarpo-phalangiennes
Il n’y a jamais d’asterixis
Coma avec signes de localisation
Il n’existe pas une hypertonie extra-pyramidale
37. La diarrhée:
Est définie par l’augmentation du nombre de selles par jour
Est définie par l’augmentation du poids des selles journalier
La selle doit être liquide
Est aiguë si elle dure moins de trois jours
38. Lors de l’occlusion de l’intestin grêle :
Les douleurs abdominales sont rapidement progressives
L’arrêt des matières et des gaz est toujours précoce
Le tympanisme est latéral
Le ventre est distendu
40. Les bruits hydro-aériques :
Reflètent le péristaltisme abdominal
Sont détectés par la percussion
Peuvent être nombreux en cas d’ischémie mésentérique
Sont peu nombreux en cas de diarrhée motrice
39. Quelles sont les affirmations exactes concernant la douleur colique ?
Elle est de siège ombilical
Elle est soulagée par l’émission de selles et/ou de gaz
Elle est déclenchée par l’émission de gaz
Elle peut être soulagée par le repas
41. Quel est le signe clinique qui n’existe pas dans le syndrome de reflux gastro-œsophagien?
Pyrosis
Signe du lacet (postural)
Toux nocturne de décubitus
Défense épigastrique
42. Chez l'adulte jeune la cause la plus fréquente de syndrome clinique de sténose du pylore est:
Le cancer gastrique
L'ulcère duodénal
L'hypertrophie du pylore
L'ulcère gastrique
43. Parmi les propositions suivantes, citer celle qui évoque la douleur d'un ulcère duodénal:
Epigastrique, à type de crampe, calmée par l'alimentation
Epigastrique, à type de brûlure
Déclenchée par l'alimentation
Post-prandiale précoce
44. Quelle est la proposition ne concerne pas la douleur d'un syndrome ulcéreux:
Siège épigastrique
Type de crampe
Survient à distance des repas
Aggravée par l'alimentation
45. Quelle est la complication possible de l'ulcère bulbaire?
Hémorragie digestive haute
Ictère obstructif
Occlusion intestinale
Pancréatite
46. L’étiologie de vomissement chronique est :
Insuffisance rénale aiguë
Réflexes (occlusion, péritonite, pancréatite, ...)
Psychogène, sténose digestive non dérivée
Reflux gastro-oesophagiene
47. Parmi les propositions suivantes, laquelle ne s’applique pas au syndrome dysentérique ?
selles: glaires, sang, pus
Incubation: quelques heures
Douleurs: intense
Mécanisme: invasif
48. Madame C., 29 ans, sans antécédents connus, consulte à midi aux urgences en raison de douleurs épigastriques survenues depuis ce matin à six heures. Ces douleurs sont continuées, sans paroxysme, accompagnées de vomissements alimentaires peu abondants.Quelle est votre hypothèse diagnostique ?
Ulcère gastro-duodénal
Cholécystite aiguë
Occlusion aiguë haute du grêle
Infarctus mésentérique
49. Monsieur H. T., 60 ans, éthylique notoire et grand tabagique (50 paquets/année), consulte en raison d'un amaigrissement majeur (-12 kg en 3 mois) et d'une difficulté à avaler les aliments. Ce qui était une simple gêne au début, il y a 4 mois, s'est progressivement aggravé, actuellement seuls les aliments liquides passent. Le reste de l'examen clinique est normal.Quelle est votre principale hypothèse diagnostique ?
Cancer de l'œsophage
L’œsophagite
Tumeur du larynx
Sténose de l’oesophage
50. Monsieur T., 45 ans, sans antécédents connus, consulte en raison d'une diarrhée apparue il y a 4 mois et qui s'est progressivement aggravée. Elle est actuellement post-prandiale très précoce, faite de selles impérieuses, fécales et homogènes. Le patient a quelquefois constaté des débris alimentaires. II n'a pas maigri. Le poids quotidien des selles est de 350 g.Quel est votre diagnostic?
Diarrhée chronique de type motrice
Diarrhée chronique de type malabsorptive
Diarrhée chronique de type osmotique
Diarrhée chronique de type sécrétoire
51. Madame A., 75 ans, est hospitalisée en raison d'un tableau douloureux abdominal aigu. Ses antécédents sont marqués par une colopathie fonctionnelle chronique, qui s'est récemment aggravée. L'interrogatoire retrouve une perte pondérale de 6 kg au cours de ces derniers mois. Lors de l'admission la veille, la patiente présentait des douleurs abdominales diffuses et un volumineux météorisme en cadre, animé de mouvements péristaltiques. La patiente n'a pas vomi, mais présente un arrêt total des gaz depuis 24 heures. Les orifices herniaires sont libres et le toucher rectal est normal.Quelle est votre hypothèse diagnostique principale ?
Occlusion du grêle par strangulation
Occlusion du grêle par obstruction
Occlusion du côlon par obstruction (cancer du côlon)
Occlusion du colon par volvulus
52. Cet homme de 50 ans consulte pour une diarrhée chronique, installée depuis 4 mois.Comment affirmez-vous le diagnostic de diarrhée chronique ?
Diarrhée poids de selles > 300 grammes / jour et chronicité > 3 semaines
Diarrhée poids de selles > 300 grammes / jour et chronicité > 3 jours
Diarrhée poids de selles > 300 milligrammes / jour et chronicité > 3 semaines
Diarrhée poids de selles > 300 grammes / jour et chronicité < 3 semaines
53. Mme. R., 52 ans, consulte pour augmentation de volume de l'abdomen, installée sur 2 mois, d'apparition progressive. L'examen clinique vous confirme par :Inspection : augmentation de volume de l'abdomen, Palpation : signe du flot et signe du glaçon, Percussion : matité déclive.Sur le plan sémiologique cité au-dessus, quelle est votre hypothèse diagnostique principale ?
Obésité abdominale
Tumeur abdominale
Ascite
Myome utérin
54. A quelle étiologie penserez-vous en premier chez un fumeur qui tousse de façon chronique depuis plusieurs mois et qui vient de présenter des crachats hémoptoïques ?
Tuberculose pulmonaire
Aspergillome
Embolie pulmonaire
Cancer broncho-pulmonaire
55. La vomique :
Est l'évacuation dans les bronches d'une collection purulente et fétide
Est le plus souvent fractionnée et odeur normal
Se voit dans les dilatations des bronches non compliquées
Est le signe fonctionnel majeur de cancer pulmonaire
56. Quelle est la proposition ne caractère pas d'une expectoration de maladie bronchectasiante:
Aspect muco-purulent persistant
Expectoration quotidienne dans 60 ml/jour ou plus
Expectoration observée depuis plusieurs années
Expectoration récent avec épisodes hémoptoïques
57. L'auscultation pulmonaire révèle chez un sujet âgé de 50 ans dont la plainte fonctionnelle essentielle est la dyspnée, des râles crépitants. Ceci peut évoquer :
Un œdème aigu du poumon
Un asthme allergique
Un emphysème primitif
Un pneumothorax
58. Une jeune femme sans antécédents a des crises d'essoufflement en dehors de l'effort avec des difficultés pour inspirer à fond et une perception de sifflements respiratoires aux 2 temps. Ces crises régressent spontanément en quelques heures. Hypothèses ?
Vous éliminez d'emblée un asthme à cause du caractère inspiratoire de la dyspnée
Il peut s'agir d'une dyspnée laryngée
Un œdème aigu du poumon
Il peut s'agir d'un pneumothorax compressif
59. Parmi les affections cardio-respiratoires suivantes, laquelle peut provoquer une dyspnée avec des râles sibilants audibles à l'auscultation ?
Asthme
Insuffisance ventriculaire droite
Bronchopneumonie
Fibrose interstitielle chronique
60. Devant une hémoptysie isolée de faible abondance, un seul des examens suivants doit faire partie du bilan réalisé en première intention. Lequel?
Artériographie bronchique
Exploration fonctionnelle respiratoire
Fibroscopie bronchique
Bronchographie
61. Les hémoptysies graves peuvent avoir pour origine:
Une bronchite aiguë virale
Un rétrécissement mitral minime
Un cancer bronchique avec envahissement vasculaire
Une tuberculose pulmonaire
62. Concernant la cyanose, il est exact que:
Elle apparaît une hémoglobine réduite supérieure à 5 g/100 ml dans le sang capillaire
Elle est majorée par une alcalose
Elle est majorée par une anémie
La cyanose créée par un shunt droit-gauche peut être corrigée par l'oxygénothérapie
63. Un pneumothorax est mal supporté si:
Il survient chez un adulte jeune
Il est « à soupape »
Il existe unilatérale et de petite abondante Il existe unilatérale et de petite abondante
Il s'agit d'une récidive
64. Toutes les signes cliniques suivantes concernant le pneumothorax bénin spontané, sauf une, laquelle ?
Toux
Expectoration
Dyspnée
Douleur
65. Vous évoquez cliniquement une pleurésie sur :
Augmentation des vibrations vocales
Pincement des espaces intercostaux
Matité
Augmentation du murmure vésiculaire
66. Vous suspectez une pleurésie abondante devant :
Matité hémithoracique
Abolition des vibrations vocales
Frottements pleuraux
Souffle pleurétique
67. Lors d'une pleurésie séro-fibrineuse de la grande cavité, on ne retrouve pas à l'examen clinique :
Une abolition du murmure vésiculaire
Un souffle amphorique
Une abolition des vibrations vocales
Une immobilité de l'hémi-thorax
68. Le liquide d'une pleurésie liée à une insuffisance ventriculaire gauche, contient :
De nombreux polynucléaires neutrophiles altérés
Un taux élevé d'acide hyaluronique
Un taux élevé d'amylase
Un taux de protéines inférieur à 30 g/litre
69. Chez un malade sans domicile fixe, âgé de 27 ans, alcoolo-tabagique, ayant fait une tuberculose deux ans auparavant, dont il garde des séquelles radiologiques, la survenue d'une hémoptysie de sang rouge doit faire rechercher :
Un cancer broncho-pulmonaire
Une fibrose interstitielle
Un aspergillome
Un rétrécissement mitral
70. En faveur d'une pleurésie d'origine tuberculeuse, on ne retient pas:
Fièvre à 38 degrés depuis plusieurs jours
Liquide séro-fibrineux pauvre en albumine
Présence de 80% de lymphocytes dans le liquide pleural
Notion d'un virage récent des réactions cutanées à la tuberculine
71. Une pleurésie séro-fibrineuse avec un taux de protides supérieur à 30 g/l peut résulter:
D’un syndrome néphrotique
D’une pancréatite
D'une cirrhose avec ascite
D'une tuberculose pleurale
72. Un taux très élevé d'acide hyaluronique dans le liquide pleural fait suspecter:
Une maladie de Hodgkin
Un mésothéliome pleural malin
Une pleurésie secondaire à une embolie pulmonaire
Une métastase pleurale d'un cancer gastrique
73. Quelles sont les affections sous diaphragmatiques n’occasionne pas la pleurésie ?
Cirrhose du foie en décompensation
Abcès sous phrénique
Tumeur bénigne de l'ovaire
Ulcère duodénal non compliqué
74. Un homme de 55 ans est admis pour des crachats hémoptoïques. Le patient souffre d’une douleur localisée de la base droite du poumon et d’une dyspnée d’effort de stade III. La douleur est majorée par l’inspiration profonde. L’examen clinique retrouve une TA à 120/80, un pouls à 118/mn, une fréquence respiratoire à 24/mn, une température à 38,2°C. Le poids est de 105 kg pour une taille de 1,62 m. Une diminution du murmure vésiculaire à l’auscultation de la base droite. Il n’existe pas de râles crépitant ou sibilants. L’auscultation cardiaque ne retrouve pas de bruit anormal.Quel est votre diagnostic le plus probable devant ce patient ?
Tuberculose pulmonaire
Embolie pulmonaire
Pneumonie de la base droite du poumon
Maladies mitrales
75. Une patiente de 68 ans est admise pour détresse respiratoire. L’histoire de la maladie a débuté il y a 2 jours par un tableau pseudo-grippal associant asthénie et myalgies et la température à 37,8°C. L’examen clinique note des crépitant à la base droite. Elle ne prend pas de traitement, hormis le paracétamol actuellement.Quel diagnostic clinique le plus probable évoquez-vous ?
Embolie pulmonaire
Bronchopneumonie
Pneumonie
Œdème aiguë du poumon
76. Un homme de 45 ans est amené par sa femme pour une fièvre et une toux persistante. Il est fumeur (25 paquets année) et gros buveur. Il a été splénectomisé il y a 3 ans suite à un accident de la voie publique. Les premiers symptômes auraient débuté il y a 72 heures avec l’apparition brutale d’une douleur basi-thoracique gauche. Le patient est par ailleurs asthénique depuis plusieurs semaines. A l’examen, le patient est pâle, couvert de sueurs et présente une toux grasse avec expectoration blanchâtre. La fréquence cardiaque est à 115/min, la pression artérielle à 100/ 65 mmHg, la fréquence respiratoire à 26/min et la température à 39,5 °C. L’examen pulmonaire révèle une matité de la base gauche et à l’auscultation des crépitant et un souffle tubaire de la partie inférieure du champ pulmonaire gauche. Le murmure vésiculaire est diminué dans cette zone. Les autres appareils sont normaux.Quel diagnostic clinique le plus probable évoquez-vous ?
Embolie pulmonaire
Bronchopneumonie
Pneumonie
Pleurésie du poumon gauche
77. Un homme de 65 ans, alcoolo-tabagique (consommation de tabac évaluée à 40 paquets années), admis en raison de la survenue d’hémoptysies à répétition et d’une altération de l’état général. Il est apyrétique et non dyspnéique.Quel diagnostic clinique le plus probable évoquez-vous ?
Tuberculose pulmonaire
Dilatation des bronches
Cancer bronchique
Rétrécissement mitrale
78. Mme G., 27 ans, consulte pour douleurs basithoraciques gauches augmentant à l'inspiration profonde, accompagnées d'une toux sèche survenant principalement aux changements de position (qui déclenchent par ailleurs la douleur). Cette symptomatologie est apparue depuis trois jours. L'examen clinique retrouve un syndrome d'épanchement liquidien de la plèvre remontant à mi-hauteur du champ pulmonaire gauche.Quels sont les éléments de l'examen physique d'un syndrome d'épanchement liquidien de la plèvre ?
Augmentation des vibrations vocals
Matité déclive mobile avec les changements de position du malade
Augmentation du murmure vésiculaire
Frottement pleural (va et vient) apparaissant en apnée
79. M. H., 42 ans, consulte pour toux, dysphonie et altération de l'état général. De ses antécédents, on retient un tabagisme à 30 paquets-années non arrêté. Il y a deux mois, l'apparition d'une asthénie invalidante, et d'un amaigrissement de quatre kilos (actuellement 51 kilos pour 1 m 67). Ensuite s'est installée une toux sèche de plus en plus fréquente, et enfin depuis une semaine environ une voix bitonale. L'examen clinique trouve une adénopathie sus claviculaire gauche dure indolore fixée de 2 cm de diamètre. La palpation cervicale est normale.Quel est le diagnostic le plus probable?
Tuberculose pulmonaire
Carcinome broncho-pulmonaire
Dilatation des bronches
Bronchite chronique
80. M. D., 51 ans, non-fumeur, consulte aux urgences pour ce tableau installé depuis ce matin avec toux grasse, expectoration purulente, douleurs thoraciques et fièvre à 39°C. II n'a aucun antécédent particulier. L'examen pulmonaire retrouve un foyer pulmonaire gauche avec une matité localisée, des râles crépitants, une abolition du murmure vésiculaire et une augmentation des vibrations vocales.Quel est votre diagnostic?
Pneumonie
Pneumothorax
Pleurésie
Bronchite aiguë
81. Mme R., 23 ans, consulte pour expectoration chronique. Celle-ci existe depuis l'enfance, est surtout matinale, mucopurulente, d'abondance variable, et a longtemps été négligée par la patiente et son entourage. II existe également une toux grasse chronique prédominant le matin. A noter une dyspnée aux efforts inhabituels (tennis, course à pied), ne la gênant pas dans la vie quotidienne.L'auscultation retrouve des râles bronchiques aux deux bases pulmonaires. Le reste de l'examen clinique est normal en dehors d'un hippocratisme digital. La température est normale.Dans ses antécédents, on note de nombreuses bronchites trainantes hivernales dans les suites d'infections rhinopharyngées, un tabagisme à 4 paquets années.Quel est votre diagnostic?
Asthme
Bronchite chronique
Dilatation des bronches (DDB)
Cancer broncho-pulmonaire
82. Mr. T, 61 ans, consulte aux urgences pour une douleur thoracique aiguë apparue depuis 2 heures. II ne fume pas, ne boit pas d'alcool et est retraité. La douleur est latérothoracique gauche, prédomine à la base, n'irradie pas, et augmente avec l'inspiration profonde, les mouvements et la toux. La fréquence respiratoire est à 24/mn. II n'y a pas de cyanose, ni d'expectoration. II n'existe pas d'autre signe fonctionnel. A l'examen clinique, la tension artérielle est à 100/60 mmHg, le pouls à 115/mn, la température à 37,6° C. Le reste de l'examen est normal, mais il est très angoissé.Quel est votre diagnostic?
Péricardite aiguë
Embolie pulmonaire
Dissection aortique
Pneumothorax
83. M. G., 54 ans, est hospitalisé en urologie pour prostatectomie radicale en raison d'un adénocarcinome prostatique non métastasé. II n'a aucun antécédent médicochirurgical particulier. L'intervention se déroule sans difficultés, et est entourée d'une prophylaxie par héparine de bas poids moléculaire (Enoxaparine/Lovenox (0,4 ml/jour en sous cutané).Au 4ème jour, alors qu'il est toujours alité, il se plaint brutalement d'une douleur basithoracique bilatérale, à type de coup de poignard avec polypnée superficielle à 21/mn. L'examen clinique est normal en dehors d'une tachycardie à 125/mn, d'une turgescente jugulaire (TJ) et d'une hépatomégalie régulière douloureuse donnant un reflux hépato-jugulaire (RHJ). La tension artérielle est à 100/60 mmHg (150/80 mmHg en préopératoire), la température à 37,4C.Quel est le principal diagnostic à évoquer?
Embolie pulmonaire grave
Insuffisance cardiaque chronique
Pneumonie post-opératoire
Pneumothorax
84. M. N., 65 ans, retraité, consulte pour fièvre à 39° C depuis 2 jours avec toux sèche, céphalées, diarrhée et douleurs abdominales diffuses. On note dans ses antécédents un tabagisme à 30 paquets-années compliqué de bronchite chronique simple.A l'examen : asthénie, température à 38°9 C, pouls à 80/mn, tension à 140/80 mmHg. Auscultation pulmonaire : râles bronchiques diffus avec quelques crépitants à la base droite. Abdomen souple, indolore à la palpation.Quel diagnostic évoquez-vous?
Diarrhée aiguë infectieuse
Syndrome grippale
Bronchite aiguë
Pneumonie
85. M. R., 51 ans, consulte pour douleurs thoraciques chroniques. Les douleurs sont apparues depuis deux mois, sans facteur déclenchant particulier, elles augmentent aux changements de position, à l'inspiration profonde ainsi qu'à la toux. Elles sont plutôt localisées à l'hémithorax droit, sont devenues progressivement insensibles au paracétamol. Les changements de position entrainent une toux sèche. II n'y a pas de fièvre, de tachycardie. L'examen clinique met en évidence une matité de la base pulmonaire droite concave en haut et en dedans avec abolition des vibrations vocales et du murmure vésiculaire. La matité est mobile avec les changements de position du malade. Le reste de l'examen clinique est normal.Quel est votre diagnostic?
Syndrome d’épanchement pleural droit
Pleurésie droite
Pneumothorax droite
Pneumonie droite
86. M. G., 31 ans, consulte pour altération de l'état général avec asthénie, anorexie, amaigrissement (perte de 5 kilos en trois mois), et dyspnée d'effort depuis trois mois. II présente par ailleurs des sueurs nocturnes. II n'a pas d'antécédent connu. Dans son entourage, il n'a pas remarqué de personne malade. A l'examen, la température est à 38,2° C, le pouls à 80/mn, la tension artérielle à 130/75 mmHg. On palpe une adénopathie cervicale basse droite indolore, mobile, de 2 cm de diamètre. L'auscultation pulmonaire présente le râle crépitant du sommet droit.Quel diagnostic principal pouvez-vous évoquer?
Maladie de Hodgkin
Tuberculose pulmonaire
Cancer broncho-pulmonaire
Adénite cervicale
87. Mme C, 32 ans, consulte pour fièvre à 39°C depuis 3 jours, anorexie et grande asthénie. La fréquence respiratoire est à 22/min, la tension artérielle à 110/850 mmHg et le pouls à 96/min. Elle tousse mais ne crache pas. L’auscultation pulmonaire met en évidence un foyer de râles crépitants de la base droite. L’examen neurologique est normal. La radiographie pulmonaire montre une opacité systématisée du lobe inférieur droit avec un bronchogramme aérien.Quel est votre diagnostic ?
Pneumonie tuberculose
Pneumonie bactérienne
Pneumonie virale
Bronchopneumonie
88. Les propositions suivants concernant les lombalgies sont justes, sauf une, laquelle?
Douleurs à type de pesanteur, continues ou intermittentes et siégeant au niveau des fosses lombaires
Souvent elles irradient vers la vessie et les organes génitaux externes.
Les changements de position et les efforts soulagent la douleur
Le réveil ou l’exacerbation de la douleur par la palpation de la fosse lombaire
90. Les douleurs de type brûlures mictionnelles sont justes, sauf une, laquelle?
Sensation de cuisson au niveau de l’urètre lors de l’écoulement des urines
Elles peuvent être per ou post mictionnelles,
Elle témoigne d’une inflammation du bas appareil (vessie, urètre)
Elle témoigne d’une inflammation de toutes les voies urinaires
89. Les douleurs périnéales sont situées en arrière des bourses, et sont en rapport avec les propositions suivants sauf une laquelle?
La prostatite aiguë
La prostatite chronique
Le cancer de la prostate
Une pathologie uretère
91. Des œdèmes des paupières le matin et des membres inférieurs le soir :
Orientent vers une thrombose cave inférieure
Evoque un syndrome néphrotique
Evoque un lymphœdème
Evoque insuffisance cardiaque
92. Quel examen radiologique demander pour affirmer le diagnostic de colique néphrétique et sa cause au moment de la crise ?
Echographie rénale
Urographie intraveineuse
Urétéropyélographie rétrograde
Scintigraphie rénale
93. La bandelette urinaire permet de dépister :
Un syndrome néphrotique
Une protéinurie de Bence Jones
Une urétrite
Un cancer de la vessie
94. Une hématurie peut être d'origine glomérulaire :
Si on retrouve des cylindres hématiques
Si on retrouve des cristaux urates
Si les hématies sont les formes normales
Si on retrouve des caillots dans les urines
95. Un syndrome néphrotique pur retrouve :
Une protéinurie à « +++ » à la bandelette urinaire (BU)
Une hématurie
Des cylindres hématiques
Une HTA
96. Un homme de 45 ans ayant des douleurs violentes du flanc droit sans dysurie ni hématurie présente lors d'un examen d'urines 5 à 10 globules rouges par champ. L'examen diagnostic le plus approprié est :
Une échographie
Une urétéropyélographie rétrograde
Une urographie intraveineuse
Une échotomographie
97. Parmi les propositions concernant le diagnostic et le traitement d'une anurie post-rénale, une est incorrecte laquelle ?
La douleur lombaire devient constante
La néphrostomie peut être nécessaire
Si aucun calcul n'est mis en évidence à la radio, le rein controlatéral doit être exploré
Le drain de néphrostomie doit-être gardé si l'insuffisance rénale persiste
98. Une femme de 60 ans est admise pour une hématurie sans douleur. Pour confirmer ou infirmer le diagnostic de cancer de vessie, quel est l'examen le plus indiqué ?
Une cystoscopie
Une échographie abdominale et pelvienne
Une urographie intraveineuse
Une pyélographie rétrograde
99. Un sujet de 43 ans à présenter à trois reprises une hématurie macroscopique importante. La dernière a duré trois jours avec des douleurs modérées lombaires gauches. Il n'y a pas de protéinurie. Une urographie intraveineuse, faite il y a deux ans, est normale. L'échographie montre un gros pôle inférieur du rein gauche sans cône d'ombre. Vous évoquez prioritairement :
Glomérulonéphrite subaiguë
Néphrite tubulaire toxique
Cancer du rein
Lithiase pyélique
100. Un sujet de 17 ans, sujet aux amygdalites, se présente à la consultation avec un visage bouffi et un léger œdème malléolaire. L'examen clinique montre en outre une pression artérielle à 155/105 mm de mercure. Dans le sang, les antistreptolysines sont à 600 unités, la créatinine à 220 micromol/l. A la cytologie urinaire une hématurie abondante d'origine glomérulaire avec de nombreux cylindres. La protéinurie est à 2 g/24 h. Il s'agit de :
Syndrome néphrotique pur
Insuffisance rénale chronique
Glomérulonéphrite post-streptococcique
Une tumeur du rein
101. A plusieurs reprises, l'hématurie macroscopique a revêtu un caractère terminal. Ce caractère évoque surtout :
Une origine rénale haute
Une glomérulonéphrite hématurique
Une tumeur du rein
Une cause vésicale
102. Une femme de 30 ans, sans antécédents, présente une douleur brutale de la fosse iliaque droite et du flanc droit, avec nausées, une fébricule à 38°C, sans trouble mictionnel. Vous l'examinez. Bien que n'ayant pas de valeur spécifique, quel signe évoque une colique néphrétique ?
Douleur au toucher pelvien
Douleur au point urétéral moyen droit
Ebranlement non douloureux lombaire droit
Défense abdominale droite
103. Un homme de 58 ans commerçant, présente une hématurie microscopique et macroscopique à trois reprises. La créatininémie est à 198 micromoles/l. La pression artérielle est élevée, il y a des œdèmes et une protéinurie à ++++. Il y a un an, bilan de santé normal. Vous évoquez prioritairement :
Glomérulonéphrite
Thrombose veineuse rénale
Cancer du rein
Tuberculose vésicale
104. Mlle S., 28 ans, consulte aux urgences pour hyperthermie. Elle évolue depuis 24 heures environ, et s’accompagne de frissons. Vous retrouvez une douleur de l’angle costo-vertébral droit et des brûlures mictionnelles. La température est à 38,6°C. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Notamment, l’état circulatoire est normal.Quel diagnostic clinique évoquez-vous ?
Pyélonéphrite aiguë droite
Appendicite aiguë
Cholécystite
Abcès psoas
105. Madame T, 24 ans, consulte en raison de brûlures mictionnelles et de pollakiurie depuis 2 jours. Elle est apyrétique, l'abdomen et les fosses lombaires sont souples et indolores. L'examen gynécologique ne retrouve aucune anomalie, comme le reste de l'examen clinique.Quel est votre diagnostic clinique le plus probable?
Pyélonéphrite aiguë
Cystite aiguë
Urétrite aiguë
Prostatite aiguë
106. Mlle O., 24 ans, consulte aux urgences pour lombalgies droites apparues depuis 12 heures.L'examen clinique retrouve des lombalgies droites, sans contact lombaire, ni souffle. L'examen gynécologique est normal. Elle n'est pas nauséeuse. Son transit abdominal est normal. Elle ne se plaint ni de pollakiurie ni de brulures mictionnelles ni de dysurie. La température est à 39,9° C, la TA à 120/70 mmHg, le pouls à 115/mn.Quel est votre diagnostic?
Abcès péri-néphrétique
Abcès psoas
Pyélonéphrite
Colique néphrétique droite
107. Madame D. C., 45 ans, sans antécédents pathologiques, consulte en raison de l'apparition depuis une dizaine de jours d'œdèmes des membres inférieurs, bilatéraux, symétriques, mous et prenant le godet associés à une prise de poids de 5 kg. Elle est apyrétique, sa tension artérielle est de 140/80 mmHg. Les examens biologiques pratiqués montrent : Protidémie : 53 g/L; albuminémie : 23 g/L; protéinurie des 24 heures : 5 g; hématurie: 87000/mn.Quel est votre diagnostic?
Syndrome néphrétique
Syndrome néphrotique pur
Syndrome néphrotique impur
Glomérulonéphrite aiguë
108. Madame A., 32 ans, sans antécédents pathologiques, consulte en raison d'une asthénie importante installée en une dizaine de jours, associée à des œdèmes des membres inférieurs bilatéraux, symétriques, blancs, mous et prenant le godet, avec une prise de poids de 4 kg. La température est de 37,8° C, la tension artérielle de 170/95 mmHg (elle est habituellement de 120/70 mmHg). Les urines sont peu abondantes (400 à 500 cc/j depuis quelques jours), foncées. Les examens biologiques retrouventProtidémie : 68 g/L; protéinurie: 2,5 g/24 h; hématurie : 100000/mn; leucocyturie : 1000/mn. Le culot urinaire retrouve des cylindres hématiques.Quel est votre diagnostic?
Syndrome néphritique aiguë
Syndrome néphrotique pur
Syndrome néphrotique impur
Glomérulonéphrite aiguë
{"name":"Semiology", "url":"https://www.supersurvey.com/QPREVIEW","txt":"Test your knowledge in clinical semiology with our comprehensive quiz featuring 288 thought-provoking questions. Dive deep into various medical topics and enhance your understanding of clinical practices.Whether you are a healthcare professional or a student, this quiz offers:Extensive coverage of case-specific questionsValuable explanations for each answerA chance to identify areas for improvement","img":"https:/images/course3.png"}
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